Trump face aux escrocs médiatiques
Les télévisions d’Etat dans l’UE et surtout en France se déchaînent contre Trump. L’une d’elles, en plus du suivi quotidien de la guerre en Ukraine, a fait du Trump-bashing son fonds de commerce avec des « experts » sélectionnés non pour leurs connaissances mais pour leur degré de TDS (Trump Derangement Syndrome, une pathologie mentale anti-Trump). Ils en sont encore et toujours à « l’insurrection du 6 janvier 2021 » et même au montage grossier bâti en 2015 d’une « collusion Poutine-Trump ». Les révélations en cascade démontant ces narratifs leur ont échappé. Les faits réels et les preuves ne les intéressent pas. Et quels comédiens ! Airs consternés, hochements de tête entendus, soupirs. Sourires mauvais aussi qu’ils ne peuvent dissimuler quand ils osent affirmer l’exact contraire de la vérité. Jamais ils ne s’excusent, non, plutôt redoubler dans le culot et la calomnie. Cette désinformation assenée au quotidien est subventionnée par les impôts (obscènes) que paient la moitié des Français. L’alignement servile sur l’ultra-gauche américaine crève les yeux ; ses télévisions, ses juges hors la loi et leurs quelque 200 procès, ses émeutiers payés et tout sauf « pacifiques », ses universitaires qui, eux aussi, bafouent les lois et la Constitution. Une telle complaisance pour l’ennemi intérieur des nations occidentales (leurs amis à eux) voilà qui les fait bien voir dans les hauts lieux du pouvoir européen.
Depuis le 21 janvier 2025, ces escrocs médiatiques ne connaissent plus de limites : Musk et Trump ? L’équivalent américain de Poutine et ses oligarques. Les droits de douane ? Une posture erratique dangereuse « contre des alliés » (chefs de l’UE) sans jamais chercher à discerner les tares et exactions flagrantes des pseudo-alliés. Vouloir négocier avec tout le monde ? Vanité et vantardise. Jamais ils ne reconnaitront qu’au moins, Trump aura essayé tous les chemins de la diplomatie afin d’éviter à tout prix un engrenage des Etats-Unis et tout conflit susceptible de dégénérer en 3e guerre mondiale.
Sur l’Iran, Trump a fini par admettre qu’il était impossible de négocier avec les ayatollahs et on se réjouit qu’il ne se soit pas opposé à la destruction de leur arsenal nucléaire par les drones d’Israël. Et preuve a été faite que l’on ne pouvait rien attendre non plus d’un Poutine enragé à détruire et engloutir ses voisins. Le vol de provinces ukrainiennes et les divers crimes de guerre impunis rendent la situation irréductible : « Seul Dieu pourrait résoudre ce problème » (Rév. Franklin Graham, Berlin, 29 mai 2025). Alors, oui, Trump ferait aussi bien de laisser à la gauche européenne ce désastre qu’elle a laissé s’installer depuis 2014. Mais personne ne salue les efforts de Trump, alors qu’au moins, lui aura tout tenté.
Quoi qu’il fasse, il est accusé, jugé et condamné par les escrocs médiatiques.
Escrocs car ces gens-là parlent sans savoir. Leur ignorance sur les Etats-Unis en particulier est confondante à moins qu’ils ne fassent semblant : par malhonnêteté intellectuelle et militantisme contraires à la profession dont ils se réclament.
Lorsque des latinos illettrés, légaux ou illégaux, aboient aux policiers de Los Angeles « qu’il n’y a pas d’illégaux dans un pays volé » et « qu’ils sont ici chez eux », on sait très bien qu’ils répètent ce que les ONG et universitaires d’extrême-gauche leur assènent, l’histoire réécrite par l’imposteur Zinn. Mais nos escrocs de plateaux, auto-proclamés « sachants », ne font même pas l’effort d’aller sur Google, signe de leur arrogance et du mépris en lequel ils tiennent les téléspectateurs. Ils y apprendraient que l’Amérique s’est agrandie par les conquêtes militaires et par acquisition, moyennant des sommes qui paraissent dérisoires aujourd’hui mais ne l’étaient pas à l’époque. Le 2 février 1848, le Président Polk signa le Traité de Guadalupe-Hidalgo au terme de deux années de guerre avec le Mexique. Le Mexique battu dut céder tous les territoires au nord du Rio Grande, soit sept Etats actuels. Et il n’y a pas de « revanche » qui tienne.
Les émeutiers, bras armé de la gauche, sont masqués et cherchent à tuer du policier. Ils agitent des drapeaux mexicains (et islamistes) en brûlant le drapeau américain. Rappelons que les émeutes, pillages, cassages sont partis du refus du Gouverneur Newsom de laisser la police de la frontière arrêter des illégaux criminels dangereux pour les déporter. Cherche-t-il la sécession ? Les Etats et villes décrétés « sanctuaires » sont une aberration totalement contraire à la loi. Pilotées par les lobbies sans-frontières, les émeutes se sont généralisées à plusieurs grandes villes américaines dans l’intention évidente de rejouer l’été 2020 meurtrier.
Mais nos escrocs médiatiques ignorent les insurrections véritables : les pires actions pouvant nuire à Trump sont présentées de façon orwellienne sur le modèle de Nancy Pelosi qui ne voit aucune violence mais de « l’exubérance ». Nos escrocs patentés ne font pas non plus le rapprochement avec la prise en otage de la Mairie du 11e arrondissement à Paris, turf de Mitterrand, où des illégaux africains, manœuvrés par les ONG criminelles spécialisées, exigent « leur droit » à des logements, là, tout de suite, et avec des aides.
Nos escrocs anti-Trump ne voient pas davantage que les émeutes simultanées aux USA et en France sont coordonnées, que c’est la même guerre culturelle que nous livre la gauche transnationale. Guerre chaude, s’il le faut.
Au lieu de cela, ils déplorent à présent « un autre trait commun de Trump » avec Hitler, Mussolini et « son ami Poutine » (sic) : non seulement le président a fait appel à l’armée (comme plusieurs présidents depuis 1950) pour aider la police locale débordée, mais « il a planifié une parade militaire pour le samedi 14 juin 2025 expressément pour son anniversaire » – preuve absolue que Trump est un dictateur fasciste.
A ce point-là, même le téléspectateur à l’acuité limitée doit percevoir l’énormité de trop qu’on veut lui faire avaler.
Rappelons que l’armée américaine fut créée le 14 juin 1775 par le Congrès continental des 13 Colonies en rébellion depuis la Tea Party de Boston en 1773. Après les années de wokisme anti-armée dévastateur de l’administration Biden (pouvoir de l’ombre et le plus gros scandale politique de toute l’histoire des Etats-Unis), ce 250e anniversaire se doit d’être mémorable. Trump entend y célébrer avec faste la régénérescence des forces armées et aussi les 80 ans de la victoire en Europe et au Japon puisque ce sont les Etats-Unis qui ont remporté ces deux victoires.
Providentielle coïncidence, cela tombe en effet le jour de l’anniversaire du président Trump ! N’en déplaise à la gauche caviar et ses médias minables, aux gauchistes et islamo-gauchistes.
Bon anniversaire, cher et courageux Président Trump !
Bon anniversaire pour ses 250 ans à la plus puissante armée du monde.
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