Vitesse de la justice

Comments (3)

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  Claude Courty Répondre

  Au webmaster : Ci-après post se substituant à mon précédent, envoyé par erreur.
  Mille excuses et merci
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  Au tribunal des frustrés

  Contre la pression de média aux ordres, suscitant la vindicte populiste, il faut compter avec le souvenir qui semble manquer à certains, de faits pas tellement lointains, tels que le « mur des cons », le spectacle d’une garde des sceaux brandissant sans vergogne sous le regard des représentants de la nation (et sottement sous celui des caméras) la preuve écrite du mensonge qu’elle est en train de proférer, et surtout le sentiment de frustration populaire qui s’ajoute aux difficultés courantes que l’affaire fait comme par hasard oublier.
  Faute de pouvoir opposer des programmes crédibles à celui de François Fillon, c’est l’arme que choisissent ses adversaires pour tenter de l’abattre.
  Y parviendront-ils ? C’est encore incertain, cette arme pouvant même finir par se retourner contre eux, selon que les électeurs s’abandonneront à la démagogie et au rêve, fut-il fait de « futurs possibles », ou décideront d’affronter avec courage la réalité.Avant tout et dans l’immédiat, ne faudrait-il pas tenir compte du fait que TOUS les parlementaires disposent de la même enveloppe, à parité de mandat, et que chacun en dispose à sa guise en toute légalité, sans avoir à en rendre compte à quiconque. Là il y a peut être quelque chose à faire. L’enquête en cours n’apportera pas grand-chose s’il y manque une comparaison avec l’emploi que font de leurs indemnités, tous ceux qui siègent dans nos assemblées, quelles que soient leurs opinions.

  3 février 2017 à 14 h 19 min
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  betsynette Répondre

  J’en sais quelques choses , une mauvaise locataire, 4 ans de procédure, et c’était un médecin, et en plus alors que je ne pouvais toucher des loyers car maison vandalisé, les impôts me tombent dessus, alors la justice en France, elle a fait plus vite pour Fillon, qui les dérangeait, alors ce que peuvent dire les comploteurs, je mets leurs arguments vous savez ….ou.

  3 février 2017 à 12 h 47 min
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    Gérard Pierre Répondre

    À l’endroit de votre personne où le bas du dos perd son nom, …… si j’ai bien compris !

    6 février 2017 à 16 h 09 min