Derrière l’abaya, l’islamisation de la France !
En 1989, on parlait du voile, et, en 2004, quinze années plus tard, il y eut le vote d’une loi interdisant les « signes religieux ostentatoires » à l’école.
Six années plus tard encore, en 2010, une loi interdisait la dissimulation du visage dans l’espace public et visait, sans le dire explicitement, la burqa, le niqab et le voile intégral.
Cette année, il est question des abayas, qui seront interdites dans les établissements scolaires et, comme à chaque fois depuis 1989, des débats ineptes ont lieu.
Le gouvernement dit ne pas vouloir viser l’islam.
Les associations musulmanes et de multiples mouvements de gauche, rejoints désormais par la France Insoumise très soumise à l’islam, parlent d’ostracisme inadmissible, de discrimination et, bien sûr, d’islamophobie.
Je connais le refrain.
J’ai écrit un livre sur le sujet en 2004, « Qui a peur de l’islam ! », et un autre, plus récemment, publié en 2018, « L’ombre du djihad ».
Entre les deux, en 2012, en compagnie de mon ami, le grand islamologue américain Daniel Pipes, j’ai publié un autre livre encore : « Face à l’islam radical ».
Et je le dis clairement, et sans ambiguïté ni circonlocutions : pointer du doigt le vêtement et l’interdire est hypocrite et pusillanime, et conduit à passer à côté du problème.
Le vêtement (on aurait pu ajouter le burkini) est l’expression d’un refus d’intégration et d’un rejet de la civilisation occidentale, et il est l’affirmation d’une autre vision du monde, prosélyte, conquérante, demandant la soumission de ce qui n’est pas elle, et affirmant sa supériorité, affirmation qui se retrouve dans l’affirmation Allahou Akbar. Allah est le plus grand. Donc, Allah doit prédominer.
Et ce qui avance en France, pays qui est aujourd’hui le pays d’Europe où la population musulmane est la plus nombreuse, est précisément cette affirmation.
Plus la population musulmane en France sera nombreuse, plus l’affirmation se renforcera.
Ce que ne peuvent ou ne veulent pas comprendre ceux qui gouvernent la France est que l’islam n’est pas une religion qui puisse se comparer au judaïsme ou au christianisme : c’est un dogme total qui demande à ceux qui y sont soumis ou s’y soumettent (islam signifie soumission), les musulmans, une obéissance totale, et toute désobéissance est censée devoir être sanctionnée par d’autres musulmans.
L’individu n’existe pas en islam et un musulman appartient à la umma communauté des croyants.
Un « musulman modéré » est un musulman qui ne respecte pas complètement la loi musulmane, charia, et commence à s’écarter de la umma, ce qui peut lui valoir des réprimandes, voire des punitions.
Un « musulman radical » est un musulman qui applique à la lettre la loi musulmane.
La plupart des jeunes Français nés ou devenus musulmans en France appartiennent à la umma, et, s’ils s’éloignent de la charia, sont incités à revenir vers elle.
Des associations militantes sont là pour leur rappeler qu’ils sont musulmans, qu’ils doivent respecter la charia et oui, que Allah est le plus grand, que les Occidentaux sont des mécréants, inférieurs, qu’il s’agira de soumettre.
Et, en France, la soumission des mécréants avance. Les livres « Les territoires perdus de la République » et « Une France soumise », publiés sous la direction de Georges Bensoussan, l’expliquent.
Des pans entiers du savoir ne peuvent plus être enseignés dans les établissements scolaires. Les quartiers appelés « zones urbaines sensibles », sont des quartiers conquis où règne la charia. Les agressions et les viols commis contre des femmes non soumises font partie intégrante de la vision des femmes qui prédomine dans l’islam où une femme doit être habillée conformément à sa soumission à Allah.
Fondamentalement, l’islam n’est pas réformable, et il n’est pas compatible avec la vision occidentale du droit, pas compatible non plus avec la démocratie.
Plus le nombre de musulmans en France s’accroîtra, plus la France sera confrontée à des problèmes qui ne seront pas vestimentaires.
Ces problèmes sont là, déjà. Rien n’est fait pour les combattre.
Au rythme où vont les choses, d’ici deux décennies tout au plus, il sera inutile de chercher à combattre encore. L’islam aura gagné.
Seul, en 2022, Éric Zemmour a sonné l’alarme. Il a eu 7 % des voix.
(4) Commentaires
Après l’expertise de G.Millière, voici celle du colonel Richard Black, le sénateur Richard Black, qui, après avoir servi 31 ans dans les Marines et dans l’armée, a ensuite servi à la Chambre des délégués de Virginie de 1998 à 2006 et au Sénat de Virginie de 2012 à 2020:
« Le président Poutine a fait un effort désespéré pour arrêter la marche vers la guerre en décembre 2021. Il est allé jusqu’à mettre des propositions écrites spécifiques sur la table avec l’OTAN, des propositions de paix pour désamorcer ce qui se passait. Parce qu’à ce stade, l’Ukraine massait des troupes pour attaquer le Donbass. Et donc, il essayait d’éviter cela. Il ne voulait pas la guerre. Et l’OTAN l’a simplement fait sauter, l’a simplement rejeté ; je ne l’ai jamais pris au sérieux, je n’ai jamais entamé de négociations sérieuses.
À ce moment-là, Poutine voyant que des Ukrainiens armés, avec des armes pour tuer les troupes russes étaient littéralement à leurs frontières, a décidé qu’il devait frapper en premier. Maintenant, vous pouviez voir, que ce n’était pas ce n’était pas une attaque planifiée à l’avance. Ce n’était pas comme l’attaque d’Hitler en Pologne, où la règle de base standard est que vous avez toujours un avantage de 3 contre 1 lorsque vous êtes l’attaquant. Vous devez masser trois fois plus de chars, d’artillerie, d’avions et d’hommes que l’autre partie. En fait, quand la Russie est entrée, ils sont entrés avec ce qu’ils avaient, ce qu’ils pouvaient bricoler à court préavis. Et ils étaient dépassés en nombre par les forces ukrainiennes. Les forces ukrainiennes en avaient environ 250 000. Les Russes en avaient peut-être 160 000. Donc, au lieu d’en avoir trois fois plus, ils avaient en fait moins de troupes que les Ukrainiens. Mais ils ont été forcés d’attaquer, d’essayer de devancer la bataille qui se profilait, où les Ukrainiens avaient massé ces forces contre le Donbass.
les règles d’engagement pour les Russes étaient très, très prudentes. Ils ne voulaient pas créer beaucoup de haine et d’animosité. Les Russes, au début,n’ont pas bombardé le système électrique, les systèmes médiatiques, les systèmes d’eau, les ponts et ainsi de suite. Ils ont essayé de maintenir l’infrastructure de l’Ukraine en bon état parce qu’ils voulaient qu’elle revienne. Ils voulaient juste que ce soit fini et que cela revienne à la normale. Ça n’a pas marché. Les Ukrainiens, la résistance a été étonnamment dure. Les soldats ukrainiens se sont battus avec beaucoup, beaucoup de bravoure, beaucoup d’héroïsme. Et. Et donc maintenant, le jeu a été amélioré et c’est devenu beaucoup plus sérieux.
Mais c’est incroyable de regarder et de voir que la Russie domine l’air. Ils n’ont pas assommé les systèmes ferroviaires. Ils n’ont pas démoli les centrales électriques. Ils n’ont pas assommé tant de choses. Ils n’ont jamais bombardé les bâtiments du centre de Kiev, la capitale de l’Ukraine ; ils n’ont pas bombardé les bâtiments où se réunit le parlement. Ils ont été incroyablement réservés à propos de ces choses, espérant contre tout espoir que la paix pourrait être atteinte.
Mais je ne pense pas que l’Ukraine ait quoi que ce soit à voir avec la décision de paix ou de guerre. Je pense que la décision concernant la paix ou la guerre est prise à Washington, D.C. Tant que nous voulons que la guerre continue, nous mènerons cette guerre, en utilisant les Ukrainiens comme mandataires, et nous la combattrons jusqu’à la dernière mort ukrainienne. »
Instructif
les français et leur scénario catastrophe … Dieu merci, le ridicule ne tue pas …!
Pour une fois, bien d’accord avec Millière.
Interdire l’abaya tout en continuant à importer des masses énormes d’immigrés musulmans est aberrant, lâche, et illégitime : de quel droit la république laïque régenterait-elle la manière de s’habiller ? Cette mesurette fait partie très probablement d’une stratégie visant à faire croire que la caste voudrait maîtriser les flux migratoires (entendre « faire venir 199 999 immigrés au lieu de 200 000 » – solde net de l’immigration en france depuis 30 ans)
La responsabilité de cette catastrophe ne vient pas en premier lieu des musulmans, qui ne font que profiter d’une situation favorable, mais des criminels bien souvent français (ou européens) de souche qui organisent sciemment ce remplacement.
Comment sortir de ce système mortifère, telle est la seule question qui vaille intérêt. Car ce qui se dessine de plus en plus précisément, à court terme, c’est notre mort en tant que nation, en tant que peuple, en tant que religion, en tant que culture, en tant qu’intelligence. Et le monde n’en sera pas meilleur pour autant.
G. Millière avertit du danger de submersion de la France par une invasion programmée par Davos, Bilderberg, et autres mondialistes démiurges. Les média asservis le nient honteusement.
Pour la situation internationale très grave, c’est exactement pareil:
En mars 2016, le célèbre journaliste et cinéaste australien John Pilger publiait «Une guerre mondiale a commencé». mettant en garde contre l’escalade agressive de l’empire américain à l’encontre de la Russie.
Pilger évoque les provocations américaines en Ukraine, le militarisme de l’OTAN et l’étouffement de la Russie, et met en garde contre le risque croissant de guerre nucléaire, les dépenses pour les ogives nucléaires «ont augmenté plus fortement sous Obama que sous n’importe quel autre président américain».
«Au cours des dix-huit derniers mois, le plus grand renforcement des forces militaires depuis la Seconde Guerre mondiale – mené par les États-Unis – a eu lieu le long de la frontière occidentale de la Russie «Depuis l’invasion de l’Union soviétique par Hitler, les troupes étrangères n’ont jamais représenté une menace aussi évidente pour la Russie».
«L’Ukraine, qui faisait autrefois partie de l’Union soviétique, est devenue un parc à thème de la CIA», écrit Pilger. «Après avoir orchestré un coup d’État à Kiev, Washington contrôle effectivement un régime voisin et hostile à la Russie : un régime pourri par les nazis, littéralement. D’éminents parlementaires ukrainiens sont les descendants politiques des célèbres fascistes de l’OUN et de l’UPA. Ils appellent à la persécution et à l’expulsion de la minorité russophone».
«En Lettonie, en Lituanie et en Estonie, pays voisins de la Russie, l’armée américaine déploie des troupes de combat, des chars et des armes lourdes. Cette provocation extrême de la deuxième puissance nucléaire mondiale est accueillie par le silence du reste de l’Occident».
Tout ce contre quoi Pilger mettait en garde est devenu criante réalité. Une guerre en Ukraine a éclaté à la suite du coup d’État soutenu par les États-Unis en 2014 et de la crainte de la Russie d’une OTAN de plus en plus expansionniste et militariste.
G.KENNAN, Paul CRAIG ROBERTS , et bien d’autres acteurs diplomatiques de premier plan ont alerté sur cet encerclement de la Russie, qui ne pouvait mener qu’à une crise mondiale aigüe.
Si la Russie n’avait que quelques bases au Mexique ou au Canada, que diraient les média aux ordres !
Mais heureusement ceci n’est qu’un mauvais rêve :
• L’Ukraine armée et entraînée par ses partenaires de l’OTAN.
• L’Ukraine participait à des exercices et des manœuvres militaires menés par l’OTAN.
• L’Ukraine a été « intégrée dans les structures de commandement militaire de l’OTAN », notamment pour « soutenir les opérations de l’OTAN… la cyberdéfense et les manœuvres maritimes en mer Noire ».
• L’Ukraine partageait « des renseignements et participait à des interventions militaires dirigées par l’OTAN, comme en Irak et en Afghanistan ».
• L’Ukraine a participé à des « exercices nucléaires simulés » avec l’OTAN.
• L’Ukraine (et ses alliés de l’OTAN) approuve la reprise de la Crimée à la Russie (« engagement inébranlable en faveur de l’intégrité territoriale de l’Ukraine … y compris la Crimée »)