Il existe en France une violence musulmane croissante

Il existe en France une violence musulmane croissante

L’attaque barbare perpétrée dans un petit village de 550 habitants de la Drome a été beaucoup commentée.

Les journalistes des grands médias ont occulté certaines informations, comme ils le font souvent, et ont parlé de « jeunes », de « rixe », de « bagarre ».

Rares sont ceux qui ont dit la vérité, qu’on a pu trouver dans la presse régionale, en lisant soigneusement les articles.

Les « jeunes » qui ont été identifiés et arrêtés sont tous originaires du monde arabo-musulman, et sont des Français de papier.

Il ne s’agit pas d’une « rixe » ou d’une « bagarre », mais d’une expédition prédatrice raciste à but meurtrier : des témoins ont confirmé que les criminels avaient crié en arrivant « On va tuer du blanc ».

Ils étaient armés de longs couteaux. Ils ont effectivement tué un blanc, Thomas, un jeune garçon de seize ans, tout juste coupable d’être blanc et vraiment français.

Le terme adéquat pour qualifier ce qui s’est passé est « razzia », et la razzia est une action que Mohammed, le prophète de l’islam, demandait à ses disciples de pratiquer contre les tribus infidèles alentour de Médine.

Les attaques prédatrices violentes pratiquées aujourd’hui en France contre des infidèles sont définies par les bandes musulmanes qui règnent sur ce qu’on appelle de manière édulcorée les « quartiers sensibles », comme relevant de la jjizya, l’exigence du paiement qui était exigé des dhimmis par les musulmans dans les territoires conquis par l’islam.

Et ce doit être regardé en face : tous les musulmans vivant en France ne sont pas violents, mais il existe en France une violence musulmane, et elle s’accroît.

Elle s’exerce vis-à-vis des juifs, et la totalité des agressions et des assassinats perpétrés contre des juifs en France le sont par des musulmans.

L’essentiel des actes définis comme relevant de la « violence gratuite » (actes de violence n’ayant pas d’autre but que tuer ou blesser) sont commis par des musulmans.

La grande majorité des actes de délinquance et des crimes de tous ordres commis en France sont, depuis des années, commis par des musulmans.

L’immense majorité des gens qui sont en prison en France sont dès lors, très logiquement, musulmans.

Il est impossible de le dire, car les chiens de garde de la « bien-pensance » recourent vite aux insultes disqualifiantes ou aux attaques en justice, et parlent de « racisme islamophobe » ou simplement d’« islamophobie ».

Dois-je répéter qu’il n’y a pas de race musulmane ?

Dois-je ajouter, puisque le mot phobie désigne une peur irrationnelle, qu’avoir peur de l’islam n’est, dans le contexte que je viens de décrire, pas du tout irrationnel ?

Il est quasiment impossible de trouver un pays sur terre où une population musulmane coexiste paisiblement avec une population non-musulmane.

Plusieurs notions issues de la pensée occidentale sont étrangères au monde musulman : la notion d’égalité de droit entre tous les êtres humains, par exemple et, dans le monde musulman, un juif ou un chrétien ne peut en aucun cas être considéré comme l’égal d’un musulman, de même qu’une femme ne peut en aucun cas être considérée comme l’égale d’un homme.

Ce que je viens d’écrire impliquerait que des décisions soient prises par un gouvernement courageux.

Il faudrait exiger des autorités musulmanes présentes en France de tenir un discours prônant l’égalité de droit et le respect de l’autre, sans le moindre écart, pratiquer une tolérance zéro vis-à-vis des crimes et placer dans le Code pénal des peines plus lourdes pour tous les crimes et délits.

Il faudrait expulser tous les criminels ayant une double nationalité en exigeant que les pays d’origine reprennent leurs criminels chez eux. Il faudrait aussi mettre fin à toute immigration musulmane.

Sans ces mesures, qui sont des mesures minimales, comme Éric Zemmour l’a dit pendant la campagne présidentielle, la France pourrait en venir à ressembler au Liban d’ici une ou deux décennies.

Je doute, hélas, qu’un gouvernement courageux et prêt à prendre les décisions requises puisse arriver au pouvoir en France.

Tout sera fait par les chiens de garde de la « bien-pensance » pour que ce soit impossible.

La censure s’exerce. Les insultes tombent. Les condamnations en justice aussi. Et je ne peux m’empêcher d’être pessimiste, très pessimiste quand je pense au futur de mon pays natal.

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