L’Europe, une chance pour la France !

Aux dernières nouvelles, l’Europe, ce serait comme l’immigration… une chance pour la France !

Il semblerait pourtant, lorsque l’on ouvre un peu les yeux, que la réalité soit assez éloignée de la vision idyllique qui nous a été « vendue » que ce soit concernant l’immigration, paraît-il bénéfique et nécessaire, dont on constate tous les jours l’envers du décor et le côté négatif (sans aucune allusion xénophobe et en supposant qu’il y ait un côté positif…..), ou qu’il s’agisse du miracle européen, dont on nous a tant vanté les mérites mais qui lui aussi possède un revers à sa médaille, un côté moins reluisant…

Le peuple Français a foncé tête baissée dans le mirage européen présenté comme un espoir pour notre nation, la condition de la survie et la seule issue pour contrer l’hégémonie Américaine qui paraît-il menaçait de nous engloutir ! l’Union européenne devant être un rempart, un bastion imprenable censé nous protéger de toute agression extérieure venue de l’ouest aux dires des « spécialistes » dont l’analyse aura été pour le moins approximative et particulièrement erronée.

Mais qu’en est-il exactement avec le recul ? Peut-on réellement convenir que cette opération ait été couronnée de succès ? La France a t-elle tiré son épingle du jeu et est-elle sortie grandie et renforcée de cette aventure ? En dehors de réglementer les périodes de chasse et de permettre aux kalachnikov de circuler librement sur notre territoire, quel aura été l’intérêt de ce mariage forcé, imposé sur la base d’une faible majorité séduite par un discours angélique ?

La réponse est bien entendu NON et seuls ceux qui n’ont pas donné leur aval lors du référendum sur Maastricht peuvent se féliciter de leur choix de l’époque, celui de la raison et de la clairvoyance qui auraient du l’emporter sur toute autre considération utopiste, source d’illusions…..

Aujourd’hui, tous les politiques sont unanimes pour admettre que l’Europe ne fonctionne pas et sont en train de chercher à en concevoir une nouvelle, alors que la seule option qui permette de se sortir de l’impasse est l’abandon pur et simple de cette usine à gaz, la sortie de ce guêpier stérile et le retour à la souveraineté individuelle des États avec reprise en main par les peuples de leurs destins respectifs.

Il semblerait que la Grèce ait donné le signal de cette saine réaction qui devrait s’amplifier et faire boule de neige en entraînant d’autres candidats décidés eux aussi à rompre les chaînes de cette entrave machiavélique pour retrouver leur liberté.

Un exemple frappant de la calamité qu’est devenue l’Europe des 27 nous a été donné il y a quelques jours avec un reportage éloquent concernant la situation des artisans du secteur du bâtiment dans le sud-Ouest, et même au-delà, désormais en concurrence directe et féroce avec leurs homologues Espagnols, qui, confrontés eux aussi à la crise, n’ont plus comme alternative que de franchir la virtuelle frontière qui sépare nos deux pays pour venir exercer leur profession en France, recrutés par des promoteurs peu scrupuleux qui les emploient à des conditions tarifaires non compétitives avec celles des salariés hexagonaux, ce qui induit comme conséquence dramatique que le peu de travail encore disponible chez nous est désormais confié à nos voisins Ibériques.

Entre les États qui n’ont pas adopté la monnaie commune et l’absence d’harmonisation entre les différents modes de fonctionnement de chacun des partenaires de l’U.E (protection sociale, fiscalité, normalisation, réglementation, politique salariale…..), nous ne pouvons que constater que cette Europe non seulement ne nous sert pas, mais au contraire nous pénalise, nous sanctionne et, pire encore, nous entraîne vers le néant…

Après l’agriculture, l’élevage, la pêche, l’industrie, c’est désormais l’artisanat qui se trouve confronté à une concurrence déloyale, qui ne pourra que s’accentuer puisque la crise va s’installer dans la durée et s’intensifier dans sa férocité.

Si, à un certain moment, j’ai pu me poser la question de savoir pourquoi depuis plusieurs décennies je fais confiance au Front national, qui milite pour que notre pays redevienne un État souverain, indépendant, autonome et conserve la maîtrise de sa destinée, j’ai désormais la réponse et je sais pourquoi.