Peine de mort

Peine de mort

À la demande de Paris, un jour, en Algérie, un commandant a demandé au jeune sous-lieutenant du contingent d’organiser un référendum dans le village voisin du campement. Le village comprenait environ 200 adultes et 800 enfants. Le jour J, tout était en place mais il n’y eut aucun votant ! Le jeune sous-lieutenant demanda alors au petit Kabyle qui lui servait d’interprète d’aller voir. Celui-ci lui dit : « Mon lieutenant, je sais. Vous voyez les deux hommes appuyés là-bas sur la mechta (maison), ils sont du FLN et tant qu’ils seront là, personne ne votera. En effet, toi, quand tu donnes un ordre à un villageois et qu’il n’obéit pas, tu cries, tu hurles, mais c’est tout. Eux, ils coupent la gorge direct ! » C’est le mode de fonctionnement en Iran, dans les pays musulmans, en Russie, en Chine, en Corée de Nord et maintenant à Saint-Denis, Paris, Lyon, Bordeaux, etc. Dans les pays civilisés et pacifiés, on peut supprimer la peine de mort ; dans les pays envahis par une minorité (1 % dans l’exemple vécu) de non-civilisés, c’est suicidaire !

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