Traîtres sans le savoir

Traîtres sans le savoir

Tout le monde a le droit de vivre : tel est le slogan des christo-socialistes, praticiens émérites de l’amour universel. Je veux bien que tout le monde ait le droit de vivre, mais pas chez moi, pas dans mon pays, et surtout pas à mes crochets.
Je veux bien que tout le monde ait le droit de manger, mais pas dans mon assiette. Sans compter que, lorsque la planète sera pleine à craquer, et elle n’en est pas loin, une partie considérable de ceux « qui ont le droit de vivre » n’aura plus que le droit de claquer du bec. Par la faute de leurs géniteurs et des prêtres qui s’opposent à la contraception et à l’IVG.

Il y avait autrefois aux Indes une secte qui étendait ce fameux « droit de vivre » aux insectes. Ses adeptes allaient la nuit installer des passerelles au-dessus des rigoles emplies d’eau par les paysans qui tentaient de protéger leurs champs des fourmis ravageuses. Et les malheureux qui avaient sué sang et eau pour que la terre produise retrouvaient leurs récoltes dévorées par la multitude des prédateurs qu’y avaient introduits les mystiques du « tout le monde a le droit de manger ».

– Cela partait d’un bon sentiment, m’avait dit un jour une brave dame catholique adhérente à la Fondation Brigitte Bardot. – Non, Madame, lui avais-je répondu. J’aime et je défends les animaux, sans lesquels nous n’existerions pas, mais, quand il s’agit de survivre, vous me permettrez de donner priorité aux humains. Et ce « bon sentiment » des gens dont nous parlons n’était qu’une trahison de leurs congénères.

D’ailleurs, dans toutes les espèces animales, on est très pointilleux sur la notion de territoire. Votre propre chien ne l’a pas oublié, qui marque de son pipi tout son espace de promenade et qui aboie rageusement contre les intrus de la gent canine.

Une partie des humains prétend aujourd’hui que le territoire ne compte plus et que chaque Terrien est partout chez lui. Sous prétexte de solidarité socialiste ou de charité chrétienne, certains d’entre eux hébergent, nourrissent et vêtent les clandestins qui nous envahissent et n’ont aucun droit de venir profiter de la prospérité que nos ancêtres ont édifiée pied à pied.

Eh bien, pour moi, ces gens sont des traîtres à leur pays et à son histoire ainsi qu’à la civilisation occidentale, dont les intrus ne respectent rien. Sans doute ces « bienfaisants » ne sont-ils pas conscients qu’ils trahissent. Il faut donc leur ouvrir les yeux.

Nicolas Sarkozy contre l’immigration

 Les nationalistes accusent Nicolas Sarkozy de ne rien faire contre l’immigration. C’est faux.  Il fait ce qu’il peut. Brice Hortefeux a fait ce qu’il pouvait et le nouveau ministre en charge du problème, Éric Besson, qui, dégoûté du parti socialiste, a rallié la majorité, fait ce qu’il peut à son tour, avec beaucoup de courage. Il essaie notamment de lutter contre les mariages de complaisance, qui sont une source scandaleuse d’immigration clandestine. (Lisez l’excellent livre « L’immigration par escroquerie sentimentale » de Marie-Annick Delaunay – Éditions Tatamis).

Du fait des mariages mixtes (dont la plupart sont des « mariages pour les papiers »), le flux migratoire prétendu « légal » a été multiplié par 8 entre 1997 et 2005.

Aujourd’hui, Éric Besson essaie de faire respecter l’article L.622-1 du code civil sur l’entrée et le séjour des étrangers en France. Cet article stipule : « Toute personne qui aura, par aide directe ou indirecte, facilité ou tenté de faciliter l’entrée, la circulation ou le séjour irréguliers d’un étranger en France sera punie d’un emprisonnement de cinq ans et d’une amende de 30 000 euros. »

Le Parti socialiste a déposé un projet de loi pour abroger cet article et des associations socialistes ou chrétiennes organisent des manifestations contre ce qu’elles appellent un « délit de solidarité ». Éric Besson, bien soutenu par Nicolas Sarkozy, se défend bec et ongles, mais que pouvez-vous faire de décisif dans un pays où trop de socialistes et de chrétiens, aveuglés par leurs idéologies « universalistes », s’associent pour trahir la nation ?

On peut comprendre qu’une personne compatissante offre exceptionnellement un sandwich à un migrant affamé. Mais des associations qui organisent et financent le séjour permanent de sans-papiers et favorisent leur implantation frauduleuse se rendent coupables d’atteinte à la sûreté de l’État. Elles devraient être condamnées à ce titre et aussitôt dissoutes. Sinon, ce sera tôt ou tard la guerre civile !

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