Une démocratie d’opinion

Une démocratie d’opinion

La France est une démocratie d’opinion, c’est-à-dire que l’Exécutif gouverne avec pour priorité, non pas l’intérêt national, mais la volonté constante de satisfaire une opinion par nature changeante, consultée par des sondages quasi permanents.

Or, il ressort de ces analyses quotidiennes et coûteuses pour le budget de l’État que l’opinion en France est à gauche, peut-être d’ailleurs plus psychologiquement que politiquement. Le gouvernement mènera donc – même s’il se dit de droite – une politique de gauche. Que cette politique soit tout à fait contraire à l’intérêt du pays importe peu. C’est ce qu’on appelle la démagogie. Le but, exclusif de tout autre considération, est d’être élu et réélu.

On en a une preuve très significative avec l’ISF. Tous, désormais, s’accordent à dire que ce prélèvement imposé par les communistes à Mitterrand pour prix de leur vote en sa faveur est totalement contre-productif. Il a fait fuir quelque 100 milliards d’euros à l’étranger et freine l’esprit d’entreprise. Néanmoins, il n’est pas question de le supprimer. Dans un tel cas, m’ont dit des parlementaires, nous ne serions pas réélus. De belles élections qui coûtent 100 milliards d’euros au contribuable !

Je rappellerai, à ce propos, ce que j’ai déjà noté dans ces colonnes, que l’opinion en France est faite par l’extrême gauche trotskiste et révolutionnaire, voire nihiliste, la gauche léniniste avec nostalgies staliniennes (le Parti communiste), la gauche marxiste (le Parti socialiste), la gauche-fausse droite opportuniste, démagogique et verbale que beaucoup appellent l’UMPS. Ceci est tellement vrai que de nombreuses personnalités de gauche ont tout naturellement trouvé leur place au sommet de la hiérarchie de l’UMP et donc au gouvernement et ce mouvement va s’amplifier.

Pour que cette ligne ne soit pas transgressée, les syndicats veillent l’arme au pied – en premier lieu, la CGT communiste. Ces syndicats subventionnés par le contribuable (400 millions d’euros par an) sont le vrai moteur de la vie politique et sociale du pays. Ils comptent beaucoup plus que la représentation nationale parlementaire, réduite souvent au rôle de chambre d’enregistrement. Ainsi constate-ton que les grèves violentes et toutes les autres ne sont pratiquement pas sanctionnées.
Mieux, leurs auteurs finissent toujours par avoir, totalement ou partiellement, gain de cause : les paysans qui déversent des tombereaux de fumier devant la préfecture, les routiers qui interdisent tout trafic (et même, si mes souvenirs sont exacts, qui tuent un camionneur allemand qui ne s’était pas soumis à leur dictature), les salariés qui séquestrent et brutalisent le patron. C’est ce qu’on appelle l’anarchie. Il ne faut pas contrarier le « peuple de gauche », de peur de l’embrasement général qui menace.

Au plan financier, cet asservissement à l’opinion a engendré un assistanat ruineux
qui est l’une des causes majeurs de la faillite de la France et une formidable incitation à l’immigration. Qu’on en juge : on compte 22 minima sociaux et aides fiscales, comme l’allocation d’insertion des femmes en difficulté et les neuf exonérations fiscales au bénéfice des Rmistes (plus d’un million)… Sans compter les trois millions de chômeurs (beaucoup d’entre eux ayant intérêt à rester au chômage, indemnisés, plutôt qu’à rechercher un emploi). Et, malgré tout, 8 millions de citoyens vivant en France, Français ou non, se retrouvent au-dessous du seuil de pauvreté. On ne peut pas faire plus mal !

La question se pose alors de savoir ce qui, politiquement, existe en dehors de cette opinion de gauche dont on contemple le bilan désastreux. En réalité peu de chose. Tout au plus 20 % de l’opinion, quelques rescapés de la droite qui d’ailleurs ne s’entendent pas, un général sans troupe chef d’un parti nain qui s’appelle Bayrou et qui ne pourrait gouverner, s’il devenait chef de l’État (ce qui n’est pas exclu), qu’avec la gauche et des Verts qui sont rouges.

Il est pourtant un domaine qui échappe à la dictature de cette opinion, c’est celui des Affaires étrangères (Europe y compris), parce que les Français n’y attachent que peu d’importance. Il se trouve néanmoins en France deux populations antagonistes : une population de religion juive depuis très longtemps et, depuis quelques décennies, en vertu de la politique démagogique et tiers-mondiste officielle, une population musulmane (autour de 6 millions d’individus, dont beaucoup d’extrémistes), venant du tiers monde, assistés financièrement à 90 % et inassimilables. Ainsi a-t-on d’une certaine façon importé en France les conflits du Moyen-Orient. Et l’on s’étonne de la montée de l’antisémitisme !

Devant un bilan aussi négatif et qui s’aggrave chaque jour, on ne peut que s’interroger. La Grande-Bretagne a connu la courageuse Margaret Thatcher ; les États-Unis, Ronald Reagan ; l’Allemagne, Helmutt Kohl et aujourd’hui Angela Merkel ; même en Italie, Silvio Berlusconi, souvent décrié, révèle des qualités d’efficacité et d’autorité. Comment se fait-il qu’en France, on en soit réduit depuis si longtemps à une telle médiocrité, qui n’offre, je le crains, aucune perspective de relèvement de notre pays dans un avenir prévisible ?

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Comments (36)

  • siniq Répondre

    Même si l’on ne peut tout savoir sur tout, ce n’est pas une raison pour écrire des billevesées ou des calembredaines trouvées au petit bonheur la chance sur des journaux généralistes où sévissent des scribouillards spécialistes en tout qui sont toujours à la recherche du sensationnel et sont capables d’ écrire des énormités tel que un tueur un professionnel a abattu sa victime avec un revolver de calibre 45 mm muni d’ un silencieux. Ces redoutables « Rouletabille » sont les mêmes qui affirment de façon péremptoire que le véhicule Hummer H3 était la version en costume cravate d’ un blindé américain alors qu’ ils s’ agissait de la version sage du HUMVEE ( High mobility multipurpose wheeled vehicle fabriqué par AM Génaral constructeur indépendant). Ce dernier fut commercialisé pour les Stars d’ Hollywood par la société qui avait fournit l’ armée américaine. Tout ce petit laïus pour en arriver à notre inénarrable Jaures et son affirmation sur la faillite de GM dut selon lui au fait qu’ elle ne construisait que de gros 4×4.

    Donc cher Jaures

    Vous n ‘êtes pas sans savoir que la société GM est un trust de plusieurs marques comme : Buick, Cadillac, Chevrolet, Daewoo ,GMC, Holden, Hummer, Opel, Pontiac, Saturn, Saab , Vauxalle, Géo et Oldsmobile. Parmi toutes ces marques seuls deux construisaient uniquement des 4×4, Hummer et GMC, pour ce dernier il s’ agissait le plus souvent de Pick up Chevrolet rebadgés , ces petites camionnettes comparable dans une autre dimension aux vieilles Renault Prairie des années 50, sont les véhicules les plus vendus sur le marché US comme le Ford F150 prés de 500.000 unités pour l’ année 2008. Rassurez ,ils ne sont pas tous achetés par les stars US mais par l’ américain moyen vivant en zone rurale, tous ne vivent dans de grande métropole. D’ autres marques de GM fabriquent de petits véhicules de dimensions européennes même aux US comme Saturn qui, il faut l’ avouer sont d’ une banalité frisant la sinistrose , Cadillac la marque de luxe de ce conglomérat mit aussi dans sa gamme des voitures plus raisonnable copiés sur les grosses Opels qui là bas passent pour des suppositoires à autobus, elle n’ eurent pas plus de succès auprès de la richissime clientèle américaine (Celle des Stars, les mêmes qui font risette à Hussein Obama) qui leur préfèrent les grosses Mercédes. A propos de ce dernier, saviez vous qu’ il fait construire sa classe M dans ce pays car la main d œuvre y est moins cher qu’en Allemagne puisqu’ il ne fut pas soumis comme GM aux diktat des syndicats américains, tiens il n’est pas en faillite. Toyota et Nissan fabriquent eux aussi de GROS 4X4 comme le Toundra pour le premier et Titan pour le dernier et eux non plus ne mettent pas la clef sous la porte. Toyota participe même aux courses NASCAR dans la catégorie Pick up afin de mieux se faire connaître auprès des « Rednecks » .Quand vous écrivez les gros 4X4 , c’est en pensant aux SUV qui ne sont qu’ une infime partie de la production américaine même dans ce cas pourquoi un constructeur comme Porsche n’est pas en faillite, pourtant il ne produit que coupés ou cabriolets 2 portes mues par des 6 cylindres ainsi que l’ énorme Cayenne et bientôt une berline 4 portes ultra sportive. Votre affirmation s’ effondre donc et rend encore plus crédible celle de Luc Sembour.

     D’ autres informations

    11 juin 2009 à 20 h 46 min
  • Anonyme Répondre

    Florin : " Ah, si tout le monde pouvait bosser au Moulin-Rouge, une plume dans le derrière … y’aurait plus personne pour passer la serpillière dans les couloirs …"

    Plume dans le cul? Ok, passez moi la serpillere.

    Mancney

    10 juin 2009 à 13 h 58 min
  • Anonyme Répondre

    Florin : " à la place de la messie-sans-papiers, au lieu d’élucubrer sur les voitures du futur, censées faire au minimum 39 miles avec un gallon d’essence (donc moins de 10 litres pour 100 km), j’aurais institué un fonds de pensions pour les boîtes sous "chapter 11" (l’équivalent de notre bon vieux redressement judiciare)."

    Why not? Toutes les idees sont les bienvenues, si elles s’inscrivnet dans un cadre de bon sens, dans un cadre naturel, que l’on appelle capitalisme et libre entreprise et, pour l’économie, un minimum d’état, car inadapté et cher aux citoyens. Mais LS a raison avec ces vieux qui vivent 10 ou 20 ans de plus que prévu… Ca fout un sacré coup dans l’équilibre du viager, et evidemment, cela se ressent sur les choix de l’entreprise, dont les options deviennent vraiment etroites.

    Best,

    Mancney

    10 juin 2009 à 13 h 56 min
  • Anonyme Répondre

    LS : " J’aime bien Toyota mais leurs voitures sont toujours assez fades, même les Lexus qui avoisinent pourtant souvent la perfection technique."

    –  Je sais bien que vous les aimez…. comme mon voisin de droite, comme mon voisin de gauche, et celui d’en face a une Nissan, l’autre a une Infinty et le dernier une Accura! Et c’est bien cela le probleme!
    Et moi, petit Francais, je roule en Ford Expedition, une vrai merveille de comfort et d’espace, et ma femme a sa Grand Marquis, et parfois on se ballade avec notre Cad DeVille 64 convertible… enfin, quand je ne suis pas en train de bricoler dessus. Panache! Oui, monsieur… comme disait Cyrano et Luc Sembour.

    Best,

    Mancney

    10 juin 2009 à 13 h 48 min
  • Florin Répondre

    LS : "Le seul vrai "social" c’est de gagner beaucoup d’argent dans la bonne humeur…"

    Ah, si tout le monde pouvait bosser au Moulin-Rouge, une plume dans le derrière … y’aurait plus personne pour passer la serpillière dans les couloirs …

    10 juin 2009 à 10 h 56 min
  • Florin Répondre

    à Mancney : plus de pognon chez GM pour payer les retraites ? Qu’à cela ne tienne !

    à la place de la messie-sans-papiers, au lieu d’élucubrer sur les voitures du futur, censées faire au minimum 39 miles avec un gallon d’essence (donc moins de 10 litres pour 100 km), j’aurais institué un fonds de pensions pour les boîtes sous "chapter 11" (l’équivalent de notre bon vieux redressement judiciare). En France nous avons l’AGS (ça marche moins bien si le patron est parti en Argentine avec la caisse et la secrétaire, mais sinon le salarié ne perd quasiment rien en cas de faillite).

    10 juin 2009 à 3 h 04 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    A Jaurès,

     vous écrivez "les entreprises en détresse ne sont seulement, loin s’en faut, celles qui avaient les démarches les plus sociales"

    Je réponds par analogie " les voitures qui finissent dans le fossé ne sont pas seulement celles qui ne possédaient ni ABS ni aucun des correcteurs sophistiqués"

    En d’autres termes tout le monde peut évidemment finir dans le fossé.

    Pour une entreprise, la règle du jeu est de ne pas faire les fautes qui sont les plus risquées. Or justement, faire du "social" sa grande règle de conduite n’est pas seulement risqué, mais bien suicidaire. Si la concurrence n’est pas soumise aux mêmes règles, ce qui justement n’est jamais le cas, le "social" conduit inéluctablement à la ruine totale et donc à l’opposé du "social". C’est pourquoi, entre autres, la France coule. 

    Le seul vrai "social" c’est de gagner beaucoup d’argent dans la bonne humeur et d’avoir un travail utile. Tout le reste est de la barbe-à-papa de socialiste.

    A Mancney,

      J’aime bien Toyota mais leurs voitures sont toujours assez fades, même les Lexus qui avoisinent pourtant souvent la perfection technique. Ils ont aussi des modèles boudés par le public.

      GM a plus de panache et est entré dans la légende américaine aussi bien pour les grands succès que pour les gros ratages.

    LS

    10 juin 2009 à 1 h 42 min
  • Anonyme Répondre

    LS : " Le problème principal de GM est l’insolente aptitude du vieux travailleur américain à ne pas mourir aussi vite que prévu par les tables statistiques des années 60 et 70, alors qu’il travaillait et cotisait."

    –  Cela fait plaisir, quand meme, de lire parfois sur ce forum des propos corrects et vrais, simplement des facts et non pas des affabulations.
    Sans ca, pour GM, et bien que ce ne soit pas la raison principale, ils ont quand meme produit qqs models merdiques qui n’ont pas vraiment arrang
    é leurs affaires. Un peu comme la R-14. Ensuite, cet espece de "snobisme" de "l’exotic", comme ils disent. Les Ricains friqués (enfin relativement, la High Middle Class, pas les Bentley people) roulent en Mercedes, Lexus, Jaguar et BM. Les fauchés (enfin a l’américaine) roulent en Kia, Subaru et Huyndai!  Ca finit par faire beaucoup. Et il est vrai que l’on voit des auto-collant sur lesquels il est écrit : " Out of work yet? Keep buying foreign.".
    Plus grave, ceci indique, subrepticement, cet inquiétant "rejet" plus ou moins inconscient de sa propre "production", de sa propre identité, et cela peut aller tres loin et ouvrir, comme en Europe, la porte aux barbares : Il n’est vraiment plus bon, ni tres a la mode, d’etre Blanc, Male, Occidental et bien dans sa peau dans le Monde d’aujourd’hui… et les lopettes et sub-normaux en tout genres tiennent le haut du pavé. Oh well, ils vont se casser la gueule anyway… C’est cyclique. Et comme dirait Vernon : "Et on tuera tous les affreux et les Socialos".
    Cadillac Cimarron:
    http://en.wikipedia.org/wiki/Cadillac_Cimarron

    Best,

    Mancney

    9 juin 2009 à 21 h 04 min
  • ALBERT LE TROLL Répondre

    LUC
    le bureau d’études US de GM n’a produit que des veaux et n’a jamais amené la moindre nouveauté technique en automobile
    tout ce qui tient la route dans sa gamme a été pensé et étudié par les européens du groupe, tu peux nous raconter ce que tu veux, c’est comme ça!

    9 juin 2009 à 18 h 45 min
  • Jaures Répondre

    Hans: Difficile de dialoguer avec vous car vous répondez à contre-temps. Mon mail sur les richesses non-acquise était une réponse à Franck qui pensait que, en régressant de%, le PNB de l’Irlande ne remettrait ce pays que 3 ans en arrière. Votre réponse lui est donc également destinée.

    Sur GM, je maintiens évidemment ce que j’ai écrit et fais remarquer à L.Sembour que les entreprises en détresse ne sont seulement, loin s’en faut, celles qui avaient les démarches les plus sociales. je ne suis d’ailleurs pas favorable à ces régimes liés à des entreprises privées. Je préfère une harmonisation des prestations sociales afin qu’un salarié d’une PME bénéficie des mêmes droits que celui d’une multinationale. Cela s’appelle le Droit du Travail, et c’est très bien. 

    9 juin 2009 à 17 h 01 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    A Jaurès,

      La direction de GM se débat depuis plus de 20 ans dans une situation inextricable, que tous les analystes ont disséqué de toutes parts, dans les médias, à la bourse, GM faisant partie des très rares (30) entreprises admises à l’indice du Dow Jones, et chez les dizaines de cabinets de consultants appelés à la rescousse pour exorciser ou reculer l’inéluctable.

    Le SEUL problème véritable de GM était de s’être lié par contrats dans des accords sociaux de retraites insupportables, en tout cas impossibles à tenir pour la rentabilité globale de toute grosse entreprise fabriquant des automobiles aux USA.

    TOYOTA qui est aussi un très gros constructeur américain (en plus d’être japonais et d’être le plus gros constructeur  mondial) a des marges très comparables à celles de GM, mais est arrivé beaucoup plus récemment que GM dans le paysage automobile US et a réussi à ne pas se passer la corde au cou avec des obligations sociales exorbitantes.

    Le problème principal de GM est l’insolente aptitude du vieux travailleur américain à ne pas mourir aussi vite que prévu par les tables statistiques des années 60 et 70, alors qu’il travaillait et cotisait. TOYOTA a eu l’immense avantage de pouvoir faire ses prévisions en tenant compte des nouvelles courbes de longévité. Les travailleurs TOYOTA paient plus pour leur retraite et partent plus tard que ne l’ont fait les trop nombreux retraités GM encore vivants aujourd’hui. Comme aux USA un contrat est un contrat, ce qui n’est pas vraiment le cas en France, il  n’y avait guère que 2 solutions : 1 :euthanasier tous les gêneurs ou 2 : faire faillite. GM n’est pas dirigée par Pierre LANCE (je plaisante), et a choisi la faillite, la « mort » dans l’âme.

    Les erreurs stratégiques de GM comme vous dites n’existent que dans l’imaginaire des journalistes français, même si le fait de ne pas avoir eu les coudées franches(à cause du coût des casseroles sociales) a gêné la direction dans sa recherche de solutions.

     Toyota produit exactement les mêmes énormes 4×4 que GM (ils se ressemblent au point d’être presque indistinguables) dans sa gamme par ailleurs tout aussi diversifiée que celle de GM. De plus, sachez qu’il faut désormais très peu de temps pour sortir des modèles radicalement différents. Si les clients les avaient voulues, GM aurait eu très vite fait de construire des ersatz de Fiat 500.

    Pour ce qui est des « Conti », il y a pas mal d’indications inédites, quoique peu claires, dans http://www.politis.fr/article7211.html .

    Il semble, et c’est tant mieux pour eux, que les travailleurs aient bénéficié de luttes intestines Conti-Schaeffler. Cela ne change rien du tout (au contraire) au problème de fond des industries européennes qui continueront à délocaliser aussi vite qu’elles le pourront.

    Je pense que tous les Jaurès américains qui ont volontairement  mis l’ensemble de leurs économies dans l’action GM parce que cette compagnie avait un comportement plus conforme à leur vision sociale, sont maintenant obligés de pointer à l’Armée du Salut, pendant que les « Toyo » passent en ricanant et en klaxonnant.

    LS

    8 juin 2009 à 23 h 27 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Jaures <<Par ailleurs, si vous lisez mon post plus haut, les "Conti" ont obtenu bien plus que 50 000€. Ils sont sûrs de toucher au moins 75% de leur salaire jusqu’en 2012. Qui aujourd’hui peut avancer une telle certitude ?>>

    Facture de sortie du bistro très chère, mais après cela Continental ne remettra plus jamais les pieds en France. Gageons que d’autres entreprises allemandes s’inspireront de cet exemple pour aller planter leurs choux ailleurs. Cela s’appelle une victoire à la Pyrrhus, Jaures, si toutefois vous connaissez vos classiques. Pour compenser cette perte, il suffira de taxer l’usine Michelin de Karlsruhe un peu plus.

    Jaures <<les richesses comptabilisées en période de croissance ne sont pas acquises>>

    Rien n’est acquis, Jaures, sauf vos acquis! Qu’appelez-vous richesse? Si vous considérez la possession d’un appartement comme une richesse alors il faudra expliquer à pas mal de gens qu’ils sont riches sans le savoir. Surtout à ceux qui remboursent pendant 25 voire 30 ans. Arrêtez de divaguer et choisissez des exemples plus crédibles. LS a raison vos raisonnements sont préhistoriques.

    8 juin 2009 à 20 h 59 min
  • Jaures Répondre

    A Franck: Je ne veux pas vous donner un cours d’économie mais les choses ne se déroulent pas ainsi: les richesses comptabilisées en période de croissance ne sont pas acquises. Imaginez que vous soyez propriétaire de votre appartement, si du jour au lendemain vous perdez votre emploi et votre salaire, vous serez obligé de vendre votre bien et ne serez plus propriétaire de rien, malgré les salaires que vous avez reçus durant les 10 dernières années. Imaginez de surcroit que des dizaines de milliers de propriétaires soient dans la même situation. Outre que vous devrez vendre votre appartement, il vous faudra en baisser le prix, donc vous appauvrir encore plus. Ainsi, en Irlande, malgré les statistiques flatteuses de ces 10 dernières années, le pays a vu son taux de chômage doubler en quelques mois, les salaires baisser de 5 à 10%, l’endettement du pays exploser. C’est plus de 10 ans en arrière que se retrouve l’Irlande d’aujourd’hui et rien n’indique que les choses en resteront là. 

    Luc Sembour: Le désastre de GM n’est pas dû aux avantages sociaux mais aux erreurs stratégiques de l’entreprise préférant produire des 4X4 à forte marge mais hors d’époque plutôt qu’investir dans des modèles écologiques modernes. Là encore, la recherche du profit à court terme et le manque d’investissements ont coulé l’entreprise.

    Par ailleurs, si vous lisez mon post plus haut, les "Conti" ont obtenu bien plus que 50 000€. Ils sont sûrs de toucher au moins 75% de leur salaire jusqu’en 2012. Qui aujourd’hui peut avancer une telle certitude ?

    8 juin 2009 à 10 h 04 min
  • Frank Répondre

    Florin, le liberalisme economique donne des avantages competitifs sur les autres types d’economies car c’est la forme d’economie la plus efficace. Le systeme etatiste francais n’est pas competitif et ne peut pas l’etre. En fait, il s’agit d’une version du corporatisme des fascistes des annees 30.

    Dans les faits, les autoritariens qui ont voulu ce systeme l’ont fait car ils ne voulaient pas du liberalisme politique qui est son necessaire pendant.

    7 juin 2009 à 17 h 03 min
  • Florin Répondre

    Le libéralisme, est un avantage compétitif : la machine économique "tourne", lorsque vous êtes seul à l’appliquer … (voir l’Angleterre de Thatcher : si la Grande Dame a réussi, c’est parce qu’en face, il y avait des socialos fanatiques – voir la France de 1981 à 1983, année où même ces fanatiques se sont brusquement réveillés).

    En revanche, dans un monde ou TOUS sont libéraux, de l’Irlandais au Polonais et au Chinois, on ne peut plus prétendre que la clé de la réussite, c’est le seul libéralisme. Pour preuve, les Polonais ont piqué les jobs des Irlandais (hier pauvres, demain à nouveau pauvres). Le miracle irlandais a été un feu de paille, tout comme la croissance forcée espagnole.

    Dire que les usines seront rouvertes un jour là où il n’y a pas de syndicats, ni impôts, ni charges sociales, est ridicule, au vu des chiffres (têtus, comme d’hab) : le SMIC français, à lui seul, sans charges ni impôts, est bien plus lourd que le salaire des crêve-la-faim du tiers-monde. JAMAIS les boîtes ne feront marche-arrière.

    Bon, il y en aura toujours pour proposer la suppression du SMIC … Je doute que ce soit la solution.

    Ce qui m’étonne, c’est la certitude de nombreux intervenants ici, afirmée toujours de manière indirecte : l’ordre actuel est le seul possible, donc à ce titre il est éternel.

    Cela me rappelle les Tours-Jumelles de New York : leurs proprios y ont tellement cru, qu’ils ne les ont pas assurés en totalité … (seule une vingtaine d’étages l’était).

    7 juin 2009 à 1 h 56 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    Jaurès en est encore aux raisonnements dinosauriens pour enfants des jeunesses communistes: il croit que les multinationales sont des animaux malfaisants, qui de plus « pensent » et de surcroit « pensent mal ». Pour lui les multinationales ne « pensent », horreur suprême, qu’au « profit ». Il ne sait pas que les équipes dirigeantes des multinationales ont pour devoir, pour seul objectif de long terme, pour seule mission officielle, écrite noir sur blanc, de maximiser le profit de la compagnie et que tout doit tendre et ramener à cet objectif. C’est ça ou finir dans les choux, même si la multinationale est la plus grosse compagnie du monde.

    C’est ce qui est arrivé à GM par exemple qui s’est laissée bouffer par les syndicats et a accordé des avantages et des retraites bien trop généreux pour les profits que pouvait structurellement générer l’industrie automobile US. Résultat : la faillite, le chômage des ouvriers, la ruine de beaucoup de concessionnaires et de sous-traitants et l’intervention massive du contribuable pour sauver ce qui peut l’être,  même s’il n’a rien à voir là-dedans et ne prend que le train, le tram, le vélo ou l’avion.

    Voir l’excellent livre « auto-plant wars » de Robert DEWAR : copiez-collez :

    http://blogs.reuters.com/great-debate/2009/05/25/auto-plant-wars-sparked-decline-of-industry/

    Tant qu’il y aura « dumping » de salaires par des gens prêts à faire la même chose pour moins cher, il est imposé aux équipes dirigeantes de délocaliser. Il n’y a pas le plus petit espoir que cela change tant que les frontières restent ouvertes. Les 50 000 Euros touchés par les Conti ne sont pas du tout une victoire. C’est un ridicule pansement sur une jambe de bois. Il faut 2 ans maximum pour dépenser cet argent, et après ? Plus les dédommagements sont importants, plus les multinationales imagineront des solutions pour se débarrasser au plus vite des usines, des sites, des employés européens non compétitifs et de ne plus jamais remettre les pieds dans nos contrées, sauf à y réembaucher dans un quart de siècle, quand le niveau de vie et les salaires auront suffisamment baissé pour justifier un retour.

    C’est pourquoi le retour se fera en priorité là où les syndicats n’existent pas, ou bien là où ils n’ont pas les idées simplistes de Jaurès, en Irlande et en Angleterre par exemple.

    Les multinationales sont un outil formidable pour assurer au niveau mondial l’idéal socialiste : donner du travail à celui qui veut bien le faire et peut le faire, et ce sans aucune discrimination, prime, rente de situation, aux riches, confits dans leur privilèges, avantages-acquis et prébendes. Races, âges, sexes, croyances, affiliations, tout le monde est ramené au même point, afin de satisfaire le seul roi : le consommateur. Ce roi n’a qu’un souci : la qualité et le prix (et surtout pas de savoir de combien d’avantages exorbitants ou non jouissaient les personnes ayant réalisé ce qu’il achète). Quand Jaurès sera prêt à payer une Renault 50% plus cher que le prix du marché, uniquement pour soutenir cette compagnie, il pourra parler. D’ailleurs pourquoi prendre la voiture ? il peut bien la payer, la laisser dans la vitrine, et aller à pied.

    LS

    7 juin 2009 à 0 h 22 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Jaures <<Ne ricanez pas, Hans, les entreprises ne quittent pas seulement la France mais tous les pays occidentaux. Et celles qui restent sont étranglées par les banques quand elles n’ont pas déjà fait faillite>>

    Je me demande où vous cherchez vos informations, certainement pas dans la presse spécilalisée mais plutôt dans les canards de boulevard, le journal de la TV française à 20:00 voire votre gazette du syndicat. 
    Les entreprises qui restent ne sont pas étranglées par les banques mais tout d’abord par les charges. Le recours aux banques pour payer ces charges n’en étant que la conséquence. Comme toujours votre raisonnement est biaisé!

    PS: je n’ai rien à ricaner, je ne suis pas comme vous et n’éprouve pas de "Schadenfreude".

    6 juin 2009 à 20 h 09 min
  • Frank Répondre

    L’Irlande etait autrefois un des pays les plus pauvres d’Europe et ils se situent aujourd’hui parmi les pays riches. Leur PNB a augmente en moyenne de 10% l’an entre 95 et 2000, de 7% entre 2001 et 2004 et apres d’environ 4%. Meme s’ils perdent 14%, ce qui reste a prouver, ils seront encore largement gagnants par rapport a leur situation de depart.

    Concernant les salaires et les conditions de travail, ils sont determines par deux facteurs, le marche et la moralite des entrepreneurs. Il est faux de dire que la majorite des entreprenneurs sont inhumains et il est absurde de croire que les entreprises sous-payent car dans la duree c’est contre-productif. Augmenter artificiellement les salaires comme vous le proposez finit par diminuer a terme l’augmentation du pouvoir d’achat. Les salaires sont fonction de la richesse creee.

    GM est un bon exemple d’echec de vos idees puisque la compagnie a fait faillite a cause des syndicats qui l’empechaient d’etre competitif.

    6 juin 2009 à 18 h 12 min
  • Magny Répondre

    Censuré IOSA ? Tenons-nous la main : moi aussi .

    La reprise en main du site n’est pas une légende , hélas .

    Par exemple surtout n’essayez plus de réflexions sur l’euthanasie : ça ne passera pas .

    Bon alors bravo , youpi , tout va bien , continuons . Super : après la bien pensance de gauche qui nous passait la tête à la moulinette on a la bien pensance de droite qui va nous dire quoi penser .

    6 juin 2009 à 16 h 10 min
  • IOSA Répondre

    Hans@….

    Etant systématiquement censuré, je suis au regret de ne pouvoir vous répondre….

    IOSA

    6 juin 2009 à 11 h 43 min
  • Jaures Répondre

    A Franck: Avec une récession de 14% (PNB) prévue en 2 ans (ESRI), l’heure n’est plus à se partager les richesses en Irlande où le chômage a largement dépassé celui de la France et où la pauvreté se réinstalle: les subventions de l’Europe qui n’ont servi qu’au dumping fiscal auront été gachées par une idéologie dévastatrice. C’est justement parceque les multinationales ne pensent qu’à leurs profits qu’il faut lutter. Sinon, croyez-vous qu’elles amélioreront spontanément les salaires et les conditions de travail ?

    Ne ricanez pas, Hans, les entreprises ne quittent pas seulement la France mais tous les pays occidentaux. Et celles qui restent sont étranglées par les banques quand elles n’ont pas déjà fait faillite.

    En ce qui concerne les salariés, la CGT a obtenu pour les "Conti" le doublement des indemnités légales, 23 mois de congé de conversion et une prime de 50 000 euros. Quid pour un licencié Anglais ou Irlandais ? 6 mois d’indemnités forfaitaires d’environ 600€ !  On comprend pourquoi Thatcher s’est d’abord attaquée aux syndicats.

    6 juin 2009 à 10 h 04 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Jaures <<ne fera pas venir une entreprise de plus>>

    Vous avez tout à fait raison, pour revenir installer une entreprise en France il faut vraiment  être fou à lier. Les entreprises qui sont parties ne reviendront plus jamais et celles qui voudraient s’y installer seraient mieux inspirées de faire dans leur culottes, au moins cela se lave…
    Grâce à des syndicats représentatifs et combattifs jusqu’à la dernière goutte de sang, la France sera bientôt le seul pays au monde à n’avoir qu’un secteur public.
    Je me demande bien où l’État cherchera alors les sous pour faire fonctionner ce machin?

    5 juin 2009 à 19 h 48 min
  • Frank Répondre

    La preuve, Dell installé en terre libérale (Irlande) a rejoint les bas salaires polonais, avant, probablemen,t de migrer vers des salaires encore plus bas.
    ….
    Oui et alors. Les richesses creees en Irlande vont y rester, les irlandais pourront les investir dans une autre activite.

    C’est uniquement la course aux profits qui motive les grandes sociétés.

    Et qu’est-ce qui devrait les motiver? La revolution proletarienne?

    5 juin 2009 à 17 h 04 min
  • Jaures Répondre

    L’Angleterre de Thatcher, les E.Unis de Reagan (et Bush), l’Allemagne sont dans un état florissant, c’est évident. Soyons sérieux, avec les niches et le bouclier fiscaux, l’ISF est devenu symbolique. Ce n’est ni cela, ni les charges qui font fuir les entreprises. La preuve, Dell installé en terre libérale (Irlande) a rejoint les bas salaires polonais, avant, probablemen,t de migrer vers des salaires encore plus bas. C’est uniquement la course aux profits qui motive les grandes sociétés. Divisez la fiscalité et les charges françaises par deux ne fera pas venir une entreprise de plus. Par contre, ce qui permet aux Français de subir un peu moins fort la crise (indemnités chômage, retraites, services publics, système de santé) sera définitivement abandonné.

    Concernant les syndicats, les travailleurs, eux, ne s’y trompent pas: sans leur combativité, les plans sociaux seraient passé en l’état. La lutte a permis d’obtenir que des salariés partent la tête haute. Qu’en est-il des travailleurs Anglais ou Irlandais ?

    5 juin 2009 à 14 h 14 min
  • Anonyme Répondre

    Florin:

    Il y a toujours un autre choix, et c’est celui dont va se servir maintenant plus de la moitié des élécteurs Européens.

    5 juin 2009 à 13 h 36 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Iosa <<Mais le hic, c’est que bosser pour rien, il n’y a pas beaucoup de volontaires>>

    Y compris chez les entrepreneurs, c’est une des raisons de la fermeture d’entreprises.
    Ce qui est excusable chez les uns devrait par corollaire l’être pour les autres. Ne plus rien faire et attendre que d’autres le fassent est bien moins stressant.

    5 juin 2009 à 9 h 19 min
  • Florin Répondre

    Nathaniel : pas naif, mais dépourvu de choix au deuxième tour … entre nous, la dinde, je l’aime dans l’assiette, pas sur la scène, et encore moins sur un fauteuil doré (elle risque de le tacher).

    5 juin 2009 à 0 h 51 min
  • Anonyme Répondre

    Dagmar : " Le problème de la FRANCE EST QU’IL N’Y A PAS UNE DROITE"

    —  Cher Dagmar… En plein dans le Mille! Vous avez tout juste. Les Droites francaises se croient et s’installent a Droite, mais leurs programmes ne sont pas de droite.

    Mancney

    4 juin 2009 à 23 h 17 min
  • IOSA Répondre

    Hans…………….@

    Ce n’était pas par manque de volonté mais de bonne volonté.

    La trouille fut le moteur des élections Sarko qui sut mentir comme un baveux aux 53% de la masse des votants, mais bon il avait une excuse….les précédents Présidents firent moins bien que lui dans la tromperie.

    D’ailleurs, c’est pour bientôt le délit d’opinion……après ce sera le goulag ou les camps de reéducation à la chinoise pour ceux qui refusent de bosser le dimanche ou durant les congés.

    Mais le hic, c’est que bosser pour rien, il n’y a pas beaucoup de volontaires.

    IOSA

    4 juin 2009 à 21 h 00 min
  • Frank Répondre

    La France n’est pas une democratie mais une demagogie ce qui est different. Quant a la politique etrangere, elle est elle aussi soumise aux caprices d’une petite elite qui impose son ideologie reactionnaire et opportuniste.

    Les francais de gauche et de droite n’aiment pas la vraie democratie, c’est pour ca qu’ils ont construit ce systeme bizarre.

    4 juin 2009 à 16 h 23 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Iosa <<l’éxécutif en France n’obéit pas à la majorité des Français>>

    Eh oui, les 53% se sont sublimés au soleil, obnubilés qu’ils étaient par les rollex, rayban, bling bling et autres Vel Satis. Si entre les paroles et les actes il manque la volonté *), l’échec est garanti!

    *) ou plus familièrement les c…… au c…!

    4 juin 2009 à 11 h 25 min
  • Anonyme Répondre

    Florin: je vous renvoie l accusation de naivete…

    4 juin 2009 à 10 h 44 min
  • dagmar Répondre

    à Florin:

    Sarkozy n’a jamais été de droit, sasko-sego bayr ne sont que les groupes du même système totalitaire communiste. Les élections? bagares internes soutenues pas les médias du même système.

    J’ai voté JMLP pour des raison suivantes:

    il n’est pas trempé avec le "SYSTEME"

    il a prèvu immigration tssunami il y longtemps

    il est le seul farouche énemie de communisme

    il était le seul d’avoir un programme électoral cohérent, accesible sur son site, sans idéologie

    ses qualités suffisaient de stopper la catastrophe, après on verait,

    mais pour commancer à gagner il faut d’abord d’arreter de perdre, pour renverser le courrant il faur d’abour marquer le un STOP

    le problème de la fRANCE EST QU’IL N4Y A PAS UNE DROITE

    dagmar

    4 juin 2009 à 8 h 23 min
  • IOSA Répondre

    La suppression de l’ISF ne résoudra pas la fuite des entrepreneurs sous des cieux plus propices aux bénefs.

    Les délocalisations en sont déjà les preuves.

    Soyons plus réalistes, l’éxécutif en France n’obéit pas à la majorité des Français, mais bel et bien aux plus riches contre vacances au soleil, rolex, rayban…..

    IOSA

    3 juin 2009 à 20 h 26 min
  • Anonyme Répondre

    Florin:

    Pas d’amalgame s’il vous plait. Vous avez voté centre-droite et pas droite…

    3 juin 2009 à 9 h 19 min
  • Florin Répondre

    Il nous faudrait en France des gens au pouvoir qui disent ce qu’ils feront et qui font ce qu’ils ont dit.

    J’ai voté à droite, mais par pour Kouchner au gouvernement !!! On ne m’a pas dit qu’il y serait …

    J’ai voté à droite, mais personne ne m’a prévenu que la France allait continuer à subventionner la Turquie à hauteur de 96 millions d’euros par an en "crédits de préadhésion" (!) Sarko disait que la Turquie n’a rien à faire dans l’UE, alors, la poudre aux yeux, ça suffit !

    IL Y A, je répète pour la énième fois, des patriotes dans ce pays. VOTONS POUR EUX, et notre vie sera meilleure. Au moins, on aura la conscience tranquille devant nos enfants et petits-enfants.

    3 juin 2009 à 1 h 22 min

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