Violences
« Il fallait penser une mobilisation hors marche blanche et événements dramatiques. Car les violences policières, ce sont les violences les plus graves qui touchent nos enfants, les enfants pauvres, noirs ou arabes. »
Yessa Belkhodja, initiatrice de la marche du 21 avril « contre les racismes et l’islamophobie »
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