Bellicisme

De quoi se mêle M. Macron, avec nos impôts, et pourquoi? La Russie et son ancienne province l’Ukraine n’appartiennent ni à l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord ni à l’Union européenne. La Russie a toujours été un pays pacifiste, plus attaqué (Napoléon, Hitler) qu’attaquant. Son expansionnisme est à mettre sur le dos du communisme international. Il s’en est séparé avec l’effondrement du rideau de fer. Alors pourquoi notre Europe bureaucratique tente-t-elle de mobiliser les électeurs contre un ennemi imaginaire, M. Poutine et son peuple? Faire éclater la Fédération de Russie sur le modèle séparatiste type ukrainien, manipulé par la CIA, les industries d’armement, et les LGBT, ne conduirait-il pas à une dissémination du nucléaire militaire? La réponse est simple.

La France était en faillite bien avant  M. Sarkozy, comme l’avait confirmé son Premier Ministre M. Fillon. Tout n’a cessé de se dégrader toujours plus avec le déficit commercial et l’endettement étatique abyssal,  heureusement un peu compensé par les investisseurs privés avec un CAC 40 aux environs de 8000 points. Sans dividendes, pas d’actionnaires, et sans capital, pas d’entreprises.

Pour se comporter en personnes responsables, les salariés doivent être impliqués dans la détention d’une partie du capital (participation voulue par le général de Gaulle) avec évidemment en complément les fonds de pension, ce que la CGT et l’extrême gauche  refusent absolument. Nous essuyons échec sur échec se traduisant par une succession d’émeutes, de manifestations, voire de grèves et une insécurité sans précédent. Face aux difficultés, notre armée doit être utilisée pour lutter contre nos envahisseurs s’enrichissant avec les trafics de drogue.

Pour camoufler ses multiples échecs bien concrets, M. Macron veut faire diversion en inventant un péril imaginaire qui, avec son bellicisme, pourrait sonner la fin de l’humanité suite à une guerre nucléaire mondiale.