Mozart de la finance

Mozart de la finance

Dans le dernier numéro des « 4 Vérités », j’ai bien apprécié l’article de Monsieur Croella sur l’état de l’économie de la France depuis l’arrivée de M. Macron au pouvoir.
Je résume. Déficit public : 5,5 % du PIB, et dette publique : 112 % du PIB. Voilà un bien beau bilan d’un monsieur que l’on qualifiait, en 2014, de Mozart de la finance, lorsqu’il était ministre de l’Économie de François Hollande.
Les temps ont bien changé et il me vient une réflexion au sujet de ses compétences.
Il a été pendant quelques années, avant 2014, à la banque Rothschild. Alors, ou bien il était bon et compétent, et il y avait toute sa place, ou bien il était mauvais, et je ne comprends pas qu’une banque prestigieuse comme celle-là l’ait gardé plus de six mois.
Nous, les Français, qu’avons-nous récolté avec un tel Mozart ? Il nous a vendu Alsthom aux Américains, Alcatel aux Suédois, Lafarge aux Suisses, et j’en passe, sans oublier la fermeture de Fesseneim, auxquels s’ajoutent, bien évidemment le déficit et la dette qu’il a brillamment augmentée de 1 000 milliards d’euros. Et nous voilà quasiment en faillite !
J’ajouterai pour terminer, que Madame Le Pen, malgré tout ce que l’on dit sur ses « compétences économiques » aurait bien du mal à faire pire, puisque M. Macron nous a déjà mis tout au bord du trou. D’ailleurs, Reconquête, LR ou LFI ne pourraient également que faire mieux.

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