Électrique

L’utilisation du diesel à la place de l’essence a fait économiser nos carburants fossiles. Les réserves mondiales demeurent importantes, surtout avec l’exploitation des pétroles de schistes. Les motorisations n’ont cessé de progresser techniquement (consommation diminuée) ainsi que la durée de vie des voitures. Les pots catalytiques ont considérablement réduit l’émanation de gaz toxiques. Les voitures polluent au moment de leur construction et du recyclage. Il en est de même pour l’émission du dioxyde de carbone. Aux États-Unis, un automobiliste sur deux abandonne sa voiture électrique (Tesla) pour revenir au thermique. Il est probable qu’il en sera de même en Europe où BMW a détrôné le constructeur américain. Avec un plein de gazole réalisé en quelques minutes, il est possible de parcourir 900 km. Tout le monde le sait. L’abandon des voitures électriques au profit des thermiques commence à gagner l’Europe au grand dam du GIEC, de nos faux écolos et du parti des médias bien-pensants. Radio Courtoisie a été le premier informateur à dénoncer le non-sens énergétique des voitures électriques. La capacité des batteries diminue avec les rechargements et donc l’autonomie kilométrique du véhicule. Dans moins d’une décennie, l’attrait de la nouveauté (mode) n’existera plus et nous nous retrouverons avec des montagnes de batteries usagées très polluantes.