Le blanc soleil des vaincus – de Dominique Venner

Le blanc soleil des vaincus – de Dominique Venner

Dominique Venner

Le blanc soleil des vaincus

L’historien nationaliste Dominique Venner était bien connu, avant même son suicide à Notre-Dame de Paris en 2013.
Les éditions Via Romana viennent de rééditer son « Blanc soleil des vaincus », d’abord paru aux éditions de la Table ronde en 1975.
Il s’agit de l’histoire de la Guerre de Sécession, mais vue du côté des vaincus sudistes. On y découvre une guerre lancée pour des motifs très éloignés de ceux de la propagande. En particulier, ce n’était pas l’abolition de l’esclavage qui était visée, mais le triomphe d’une certaine conception des États-Unis comme nation fédérale (et non confédérale comme le voulaient les États du Sud) et, plus encore, le triomphe du Nord industriel sur le Sud des plantations…

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Comments (6)

  • BRENUS Répondre

    I WISH I WAS !

    25 février 2016 à 17 h 46 min
  • Claude Roland Répondre

    En tant que passionné de cette guerre civile depuis mon jeune âge et en tant que personne très documentée sur le sujet, je dirai, après avoir vécu 6 ans en Caroline du Sud et y compter nombres d’amis cultivés et de la famille, que ce livre me semble de bonne augure. En effet, on a trop souvent de faux clichés sur cette guerre qui, pour les sudistes, a été ressentie de la même façon que nous, Français, vis à vis de l’invasion prussienne de 1870 et 1914. La grande majorité des sudistes étaient de tout petits fermiers qui, vivant simplement et sobrement, se sont vu envahis par des gens qui voulaient leur dicter comment vivre. Imaginez des Finlandais qui envahissent la France et vous dictent la vie ?! Et quand on sait que les premiers esclavagistes étaient au nord où se trouvait, à Long Island, le plus grand marché aux esclaves… Georges Washington a été un des premiers à avoir des esclaves avant la guerre d’indépendance.
    Alors si ce livre renvoie les clichés à la poubelle, alors c’est tant mieux. The South will rise again ! Yeeeeeaaaaaaah !

    25 février 2016 à 14 h 30 min
  • Bistouille Poirot Répondre

    Eh bien si l’industrie a pris le pas sur l’agriculture il ne nous restera plus qu’à bouffer des écrans plats et piloter des Citröen
    pour arrondir les bénéfices consolidés de la marque en faisant une petite place à ceux qui gênés par une digestion difficile devront se contenter des déchets de la grande distribution, atteints par la date buttoir de la péremption. Le progrès vous dis-je…

    25 février 2016 à 10 h 23 min
  • BRENUS Répondre

    Le SUD vaincu, certes. Mais ses “redneck”, minoritaires en tout, ont bien fait courir nombre de prétentieux nordistes qui pensaient en venir a bout en quelques semaines et ont du essuyer souvent le fond de leur pantalon. Le vrai “pays des braves” selon la formule que les yankees utilisent, c’était Dixieland. Et pas les “esclavagistes” mais les petits blancs du Sud qui se sont défendus comme des lions. En étudiant un minimum cette période de l’Amérique vous constaterez l’énorme écart des généraux et commandants sudistes morts au combat, par rapport a ceux des yankees. Certains se portaient en avant, d’autres envoyaient leurs troupes au massacre.

    23 février 2016 à 19 h 09 min
  • Nicolas Répondre

    Le texte ne suit pas l’accroche.
    Merci refaire avec suite logique.

    23 février 2016 à 14 h 21 min
  • DESOYER Répondre

    Au XIXéme siècle, l’industrie a pris le pas sur l’agriculture, allant jusqu’à devenir la seule source du progrès. Les institutions se sont adaptées à cette évolution.

    23 février 2016 à 11 h 01 min

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