Ouvrage: Le train d’erlangen de Boualem Sansal
Boualem Sansal est l’un des plus grands écrivains algériens contemporains – et l’un de ces courageux intellectuels qui, en terre d’islam, n’hésitent pas à critiquer l’extrémisme musulman. Il l’avait fait dans son roman 2084. Il le montre à nouveau dans Le Train d’Erlingen (le premier était sous-titré : « La fin du monde », celui-ci est sous-titré : « La métamorphose de Dieu »). Dans les deux cas, il ne fait guère de doute que c’est l’islamisme qui est visé. Ute von Ebert, héritière d’une importante fortune industrielle, raconte à sa fille, vivant à Londres, la vie dans cette petite ville allemande assiégée par des barbares fanatiques.
Un roman puissant.
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