Corsaires de la Royale dans les Fai Tsi Long
25,00€
Ayant pu prendre les devants du coup de force japonais du 9 mars 1945 en Indochine, des Marins, des Marsouins, des Bigors, des Douaniers, des Aviateurs et des Légionnaires ont fui leurs garnisons pour ne pas tomber aux mains des Nippons, après avoir sabordé leur matériel
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Description
Description
Ayant pu prendre les devants du coup de force japonais du 9 mars 1945 en Indochine, des Marins, des Marsouins, des Bigors, des Douaniers, des Aviateurs et des Légionnaires ont fui leurs garnisons pour ne pas tomber aux mains des Nippons, après avoir sabordé leur matériel. Certains ont continué le combat à bord de petites unités de la Marine et de jonques réquisitionnées ou achetées. L’ouvrage est enrichi par des rapports et des carnets de bord de sous-officiers, d’officiers mariniers, d’officiers de l’armée de terre et de la Marine, ainsi que de douaniers. Deux récits tiendront le lecteur en haleine : Le premier est celui de Madame Geneviève Fourcade épouse d’un lieutenant de l’époque qui deviendra par la suite le général Fourcade. Des femmes et des enfants, ont franchi la frontière chinoise et ont erré dans les Cent Mille Monts, avec les Japonais à leurs trousses et souvent en butte à des populations hostiles, voire aux pirates chinois. Le second est celui de la reconquête du Laos à laquelle s’opposent des troupes du Viêt Minh et du mouvement Pathet Lao. Thakhek ville encore tenue par les Chinois sera le lieu d’un affrontement violent. Le lieutenant-colonel de Crèvecoeur est le chef qui a reçu mission d’investir la ville. L’élément de choc de son dispositif est formé par le lieutenant-colonel Conus. Ancien de la Campagne du Rif (1924-1925). Il participe en 1940 aux campagnes de Syrie, à la bataille de Bir-Hakeim, puis à la campagne de Tunisie. Breveté parachutiste en Angleterre il est parachuté dans le Vercors en 1944. Prisonnier il échappe de justesse au peloton d’exécution en se jetant dans un ravin. Il combat en Allemagne et le récit le retrouve en Indochine.
Présentation de l’auteur :
Gilbert Martin prolonge l’action de sa vie dans ses écrits. Engagé en 1948 au 3° R.T.S. de Tunis, il est en 1949 affecté au 7° Bataillon de marche d’Extrême-Orient. C’est un “Marsouin” qui franchira tous les grades jusqu’à celui d’adjudant-chef. Deux séjours en Indochine, l’Algérie et les Forces françaises d’Allemagne. Il œuvre, à présent dans le monde associatif Ancien combattant et humanitaire.
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Poids | 500 g |
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