Nouvelle Calédonie: quoi qu’il en coûte, la France doit rester!
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Chez nous, en Nouvelle-Calédonie, nos 175000 compatriotes qui ont pu échapper à la manipulation des listes électorales, avec 35000 électeurs écartés, vont revoter pour la 6ème fois depuis 1987 et toujours sur la même question : l’indépendance ou non. Que le oui ou le non l‘emporte toutefois, un autre référendum est déjà prévu pour après le 30 juin 2023. D’où alors la question : mais pourquoi cet abus de référendums en rafales ? Pour les 71533 indépendantistes de 2020, soit l’équivalent de la population de l’agglo de Béziers, on comprend. L’indépendance leur fait miroiter des royalties que l’impérialisme chinois, qui s’installerait inévitablement, ― comme c’est déjà le cas dans les Etats voisins, dont le Vanuatu à 500 km ―, accorderait aux nouveaux dirigeants, en échange du pillage des minerais, des ressources halieutiques, d’une base navale militaire, voire d’installation de missiles, anticipant le potentiel futur conflit avec les Etats-Unis, l’AUKUS et la Quad. Mais pour les dirigeants français, qui depuis Michel Rocard et Lionel Jospin, assistent en notaires silencieux de l’amputation d’un morceau de la France, pourquoi font-ils « ça » ? Car enfin, ils savent bien qu’une fois la Nouvelle-Calédonie livrée, elle deviendrait un Zimbabwe du sud Pacifique, d’où nos 81503 compatriotes loyalistes devraient partir en nouveaux pieds noirs. Ils savent aussi qu’une fois Nouméa abandonnée, la Polynésie suivrait et les ailes de la France se replieraient, renonçant au Pacifique juste au moment où l’histoire va y commencer. Alors oui, pourquoi ce grand renoncement à être la « France Monde » ?
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Chez nous, en Nouvelle-Calédonie, nos 175000 compatriotes qui ont pu échapper à la manipulation des listes électorales, avec 35000 électeurs écartés, vont revoter pour la 6ème fois depuis 1987 et toujours sur la même question : l’indépendance ou non. Que le oui ou le non l‘emporte toutefois, un autre référendum est déjà prévu pour après le 30 juin 2023. D’où alors la question : mais pourquoi cet abus de référendums en rafales ? Pour les 71533 indépendantistes de 2020, soit l’équivalent de la population de l’agglo de Béziers, on comprend. L’indépendance leur fait miroiter des royalties que l’impérialisme chinois, qui s’installerait inévitablement, ― comme c’est déjà le cas dans les Etats voisins, dont le Vanuatu à 500 km ―, accorderait aux nouveaux dirigeants, en échange du pillage des minerais, des ressources halieutiques, d’une base navale militaire, voire d’installation de missiles, anticipant le potentiel futur conflit avec les Etats-Unis, l’AUKUS et la Quad. Mais pour les dirigeants français, qui depuis Michel Rocard et Lionel Jospin, assistent en notaires silencieux de l’amputation d’un morceau de la France, pourquoi font-ils « ça » ? Car enfin, ils savent bien qu’une fois la Nouvelle-Calédonie livrée, elle deviendrait un Zimbabwe du sud Pacifique, d’où nos 81503 compatriotes loyalistes devraient partir en nouveaux pieds noirs. Ils savent aussi qu’une fois Nouméa abandonnée, la Polynésie suivrait et les ailes de la France se replieraient, renonçant au Pacifique juste au moment où l’histoire va y commencer. Alors oui, pourquoi ce grand renoncement à être la « France Monde » ?
Jean-Claude Martinez, président fondateur, avec le sénateur Dick Ukeiwé, des îles Loyauté, de l’Union pour la Nouvelle-Calédonie, est professeur de droit public et sciences politiques à l’Université Paris II, Panthéon-Assas.
- Éditeur : godefroy de bouillon (27 octobre 2021)
- Langue : Français
- Broché : 100 pages
- ISBN-10 : 2841913988
- ISBN-13 : 978-2841913985
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Poids | 400 g |
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