Se tromper de cible

Se tromper de cible

Les tireurs, chasseurs et amateurs d’armes légaux, sont à nouveau « vent debout ». Le ministre de l’Intérieur trouve plus aisé de s’en prendre à eux qu’aux délinquants, marchands de drogues, et bientôt trafiquants d’armes toujours plus prohibées et spoliées sans aucune indemnisation lorsqu’elles sont déclarées. L’insécurité juridique est totale. L’objectif final est, évidemment, de faire disparaître la chasse, le tir, et surtout la légitime défense par touches successives, pour plaire à la gauche alliée aux écologistes de salon.

Dans les années 50, les caméras de surveillance n’existaient pas. Les policiers avaient toujours raison. Toute rébellion conduisait tout droit à la prison. Les courtes peines étaient fréquentes et elles enlevaient toute envie de recommencer. Les meurtres crapuleux se soldaient par la guillotine éliminant toute possibilité de récidive. Les armes, achetées et détenues librement, protégeaient la population au quotidien par leurs effets dissuasifs. Les cambriolages étaient rares. Les incendies criminels inexistants. Les voitures n’étaient jamais incendiées.

Ainsi chacun se sentait en sécurité chez lui et dans la rue. La situation actuelle résulte d’une dégénérescence de l’autorité. Les voyous, surprotégés par les « droits de l’homme », promus par la discrimination positive, ont même infiltré toutes les sphères de la société (policiers, militaires, politiciens, etc.).

Les lois et les règlements se sont multipliés et amplifiés. Leurs excès ont fini par tuer la loi elle-même. Les malfaisants ont tiré le meilleur parti de l’anarchie pour s’enrichir sans efforts en empoisonnant la population avec des stupéfiants. Les médias terrorisés, sont très en deçà de la réalité du terrain. Dans ces conditions, il faut cesser d’emmerder les Français tous azimuts. Si le gouvernement persiste dans cette voie, il arrivera en 2022 à M. Macron, ce qui est advenu à M. Jospin en avril 2002. La réaction sera vive.

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