Serais-je le seul?

Serais-je le seul?

Je m’interroge souvent pour savoir si je suis le seul à ne plus supporter l’étalage de flagornerie, de fausse modestie et d’informations sans intérêt que nous offrent chaque jour les différents médias.
La pandémie, sans doute, mais pas les discours incessants des spécialistes qui parfois se contredisent et encore moins ces piqûres par dizaines qu’on nous inflige à l’écran.
La rediffusion d’informations pourquoi pas, mais non à ces image sans intérêts qui polluent les propos tenus par des débatteurs coincés dans un coin de l’image.
Les commentaires de discours, quand nécessaire, mais assez de nous expliquer ce que nous devons en retenir.
La référence au président par tous les ministres est malvenue. Nous savons qui les a nommé, le poste qu’ils occupent et la nature de leur fonction. Nous ne sommes pas analphabètes.
Le JE présidentiel est lassant. Mis à toutes les sauces il donne le sentiment que le chef fait le travail de sa secrétaire dans tous les domaines et qu’il n’a plus le temps de penser l’avenir de la nation.
La campagne électorale ne va rien arranger. Depuis des mois, l’interlocuteur privilégié du président est madame Le Pen! Les candidatures de personnes qui se croient indispensables vont se multiplier tandis que les promesses de toute nature vont fleurir. Mais quel avenir pour la France?
Nous avons connu Dien Bien Phu et la perte de l’Indochine puis celle de l’Algérie.
Avec les américains qui ont perdu le Vietnam, l’occident s’est fourvoyé en Irak, puis en Afghanistan et en Syrie. La France est au Mali. Toutes ces situations bénéficient-elles aux européens?
Il serait enfin temps que l’avenir de la France soit posé et construit. N’est-ce point le rôle d’une élection présidentielle?

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