Besancenot contre « l’ultralibéralisme »

Besancenot contre « l’ultralibéralisme »

La chute de l’économie française au quatrième trimestre de 2008 est historique : moins 4,2 %.Olivier Besancenot, notre médiatique facteur venant du trotskisme, fonde le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), alors que Jean Luc Mélenchon, venant du parti socialiste, crée le Parti De Gauche (PDG ou PG ?) On se bouscule à la gauche du Parti socialiste. Car cet électorat a été renforcé par la crise financière actuelle, qui est présentée depuis un an par les médias français comme la conséquence normale de « l’ultralibéralisme ».
Précisons d’abord trois points.

1) La crise économique actuelle est essentiellement due au maintien de la France dans la zone euro.

2) La crise financière actuelle n’est pas la conséquence du libéralisme. Mais, au contraire, la conséquence d’une trop grande intervention de l’État sur l’économie. Dans un premier temps, les USA ont volontairement trop favorisé l’achat de leurs maisons par les Américains peu fortunés. Ils ont ainsi créé de toutes pièces la bulle immobilière, bulle qui faisait monter le prix des maisons à toute allure.
Dans un deuxième temps, pour lutter contre cette inflation, ils ont rendu le coût de l’argent bien trop élevé. Les Américains n’ont plus eu les moyens financiers de payer leurs maisons achetées à crédit. Ils les ont donc vendues. Le prix des maisons s’est effondré, mettant les banques prêteuses en grande difficulté. C’est la crise financière dans laquelle nous sommes.

3) Oser appeler « ultralibéralisme » le comportement actuel de la France est ubuesque : la France est le pays où les gouvernements interviennent le plus dans l’économie, en dehors des pays marxistes comme la Corée du Nord ou le Zimbabwe.
Il faut donc chercher ailleurs le mauvais état économique et social de notre pays.
J’ai alors entendu Olivier Besancenot vanter les troubles sociaux de mai 1968. Car, affirme-t-il, ces troubles ont procuré une augmentation de 30 % des salaires. Ce fondateur d’un nouveau parti politique semble ne pas connaître la réalité historique et économique.

– D’abord, le chiffre de 30 % est faux. Le SMIG a augmenté de 25 %, les salaires de 12 % en moyenne. Parler de 30 %, c’est donner de fausses informations. Peut-être pour justifier l’utilité des troubles sociaux ? La rue impose ainsi sa loi au pouvoir élu démocratiquement.
– Ensuite, Olivier Besancenot ne dit pas que c’est justement à partir de 1969 que la France a quitté le plein-emploi pour s’installer durablement dans le chômage.
Les « événements » de mai 1968 ont en effet poussé le gouvernement en place à promulguer toute une série de mesures inflationnistes : temps de travail hebdomadaire réduit à 40 heures, avancement de l’âge de la retraite, allongement de la durée de scolarisation, remplacement du SMIG par le SMIC…
Signalons aussi l’abandon du contrôle des prix en 1969, abandon jugé nécessaire pour arriver à la monnaie commune.
On aurait pu, après 1968, laisser l’inflation galoper, comme la France l’a d’ailleurs fait en distribuant trop d’argent avec la crise des assignats en 1793, ou les nationalisations en 1945.

L’hyperinflation aboutit très souvent à des dictatures. Les Allemands en savent quelque chose. Olivier Besancenot pense-t-il que l’hyperinflation lui est utile pour prendre le pouvoir ? Ou croit-il vraiment qu’une augmentation de salaires de 30 % est bonne pour la France ?

Le démocrate doit lutter contre l’inflation. Et, il n’y a qu’un seul moyen efficace de s’y opposer : faire augmenter la demande au même rythme que l’offre. Si l’offre augmente de 2 %, la masse monétaire en circulation doit augmenter de 2 %. Le reste est poésie.
Tant que les gouvernements mettront en place des politiques économiques inflationnistes, les banques centrales devront s’opposer à cette inflation. Elles mettront donc moins d’argent à la disposition des consommateurs et des entreprises. Notre pouvoir d’achat sera réduit d’autant. Nicolas Sarkozy semble avoir compris en partie cette réalité. Il semble par contre qu’Olivier Besancenot l’ignore totalement. Pour quelles raisons ?

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Comments (14)

  • Anonyme Répondre

    "Les 4-Vérités"   – 23 02 09

    @Siniq : vous retrouvant sur ce forum, permetetz-moi de vous redire ce que j’ai tenté de vous dire la semaine dernière en adressant à deux reprises (et en vain) un post rectifiocatif à propos de CHARD. En toute bonne foi, je vous avais contredit lorsque vous aviez indiqué que cette tale ntueuse caricaturiste à "RIVAROL" avait obtenu un Prix lors d’un Concours organisé à Téhéran pour prover qu’il n’y avait pas que les islamistes à s’offusquer de certaines caricatures. Ayant le souci de l’objectivité par dessus tout (ce qui ne m’empêche pas de commettre des erreurs" !), j’ai découvert qu’effectivement, CHARD avait obtenu un second Prix (sans avoir réellement concouru, je le précise) dans dans un Concours de dessins dont le thème était la Shoah. A ma connaissance, le dessin ainsi primé n’avait pas été publié à l’époque de sa création, ni depuis, mais je tenais à vous rendre justice et à vous présenter mes excuses. Cordialement, Jean-Claude Thialet 

    23 février 2009 à 20 h 53 min
  • sas Répondre

    A hans….

    ……le reférendum a déjà eu lieu il y a 1 an……et la réponse au liste spéciale maçonne : AUTONOMISTES

    non NON NON NON ET NON…..le guadepoupéen et la martiniquais en bon gaulois réclame toujours et toujours, comme un bon gaulois qu’il est (assimilé) il veut le pain, le buerre , l’argent du beurre  et la fille de la crémière…. enfiler…..

    ….pas folle la guêpe , ils ont bien compris que les trains de vies de nababs rentiers (pour ceux qui peuvent et savent comparer) locaux , seraient vite oublié et perdu si ces territopires etaient laissés en gestion aux incapables actuels, qui tous confondus , avec des centaines de millions d’euros de budget…..n’ont su que fabriquer de la taxe locale, des fonctionaires locaux(80% des budgets) , et créer des lycées et ecoles en carton pâte ou conteneur à bestiaux…..mais ce sont assuré des patrimoines a faire pleurer margot…….NOMBRE DES HUISSIERS DIFFICILEMENT SUSPENDUES CES DERNIERES ANNEES ETAIENT MILLIARDAIRE……pas millionaire , et ca choque personne…

    Il faut juste appliquer les lois et le droit républicain à tous ici, et sans faiblir…..quitte a interdir les franc maçons des instances institutionnelles locales qu’ils pourrissent et pervertissent à souhait….

    d’où ce bordel que peu comprenne…..et si ce sont les toxico/dealer/branleurs qui doivent assurer la circulation et la distribution de l essence (ce qui ce fait en cemoment avec la complicité de l’etat)….alors on est tous dans la merde.

    SAS qui atend que la banlieux comprene bien , le message porté par le postier de neully….et le mode opératoire.

     

    23 février 2009 à 20 h 36 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    "Les-4-Vérités"   – 23 02 09

    Il y a, me semble-t-il, dans cet article de Bernard TREMEAU, ce que je sais trop comment qualifier. De l’incohérence ? de la confusion ? ou des contraditions ? Mes commentaires s’en ressentiront, même si je vais m’efforcer de reprendre son article paragrape par paragraphe :

        – Olivier BESANCENOT. Le facteur qui apporte la (bonne) parole de l’Ultra-gauche a été "fabriqué" par le Pouvoir actuel avec l’effet amplificateur d’une super-médiatisation. Dont l’un des responsables est le "bon" Michel DRUCKER. Le même qui refuse avec indignation d’accueillir sur son canapé dominical les Le PEN, père ou fille (comme d’ailleurs n’importe quel autre "Frontiste" !) mais qui a été très honoré de recevoir le facteur neuilléen. Un facteur neuilléen que l’on a vu allant se recueillir à la Guadeloupe devant le corps d’un syndicaliste (1). Et qui, sans que cela fasse réagir tant la Presse (toujours prête à s’indigner de certaines "petites phrases") que le Pouvoir, a déclaré, avec une feinte modestie,  qu’il était venu à Pointe-à-Pître pour prendre des leçons en matière de manifestation revendicartices. Comme s’il avait décidé de porter à son tour en métropole le feu et la lave de la "Souffrière" guadeloiupéenne !

       – La crise actuelle est essentiellement dûe au maintien de la France dans la zone euro. Figurant parmi ceux qui, dés le début (après avoir voté "NON" à Maastricht) on refusé cette "monnaie", j’aurais mauvaise grâce à reprocher à son auteur un tel propos. Mais celui-ci me paraît incomplet dans la mesure où primo, il vient trop tard : c’est dés le début qu’il fallait manifester son opposition à l’euro; secundo, avec ou sans l’euro, la "Krise" aurait frappé la France (on le voit pour l’Angleterre)  qui, avec l’ouverture inconsidérée des barrières est devenue archi-dépendante du reste du monde, d’autant qu’important tout et n’importe quoi fabriqué à bas prix dans des pays qui n’appliquent dans le monde du Travail aucune de ses règles salariales, sociales ou sécuritaires , sa survie économique est liée à ses exportations. Des exportation qui n’avaient cessé de décliner, bien avant la "Krise" ! Et limiter la crise économique de la France à l’euro me paraît insuffisant, et même injuste. La situation désastreuse de la France en matière de travail, de logement, de sécurité, est liée, aussi, aux accords de Schengen qui ont ouvert toutes grandes les portes e notre Pays. Mais, surtout, lorsque l’on gratte derrière tout cela, on constate que les vrais respponsables sont nos gouvernements successifs, de "Droite" comme de gauche qui, par leur lâcheté, leur impéritie, leur incompétence, leur imprévoyance, et, parfois, leurs vrai/faux "bons sentiments",etc. ont laissé le "FRANCE-TITANIC" s’enfoncer…

       – si l’on ne peut qu’être d’accord avec Bernard TREMEAU lorsqu’il écrit que le comportement de la France loin d’être "ultra-libéral" et a été au contraire "ubuesque", que penser de certains de ses propos ? Notamment, lorsqu’il écrit "Le démocrate (question personnelle : pourquoi simplement le "démocrate", comme si un "monarchiste", ou même un "dictateur" ne pouvait s’intéresser au pouvoir d’achat de ses concitoyens !) doit lutter contre l’inflation". Et, nous dit-il, "…il n’y a qu’un seul moyen efficace de s’y opposer : faire augmenter la demande au même rythme que l’offre." N’est-ce pas là tout le contraire du "libéralisme" que prône  – à tort ou à raison, qu’importe – Bernard TREMEAU ?  N’est pas aussi courir le risque de voir les consommateurs acheter de plus belle des produits fabriqués à bas prix en dehors de nos frontières ? Pourquoi, au lieu de reprocher  – à juste titre, certes – aux gouvernements français d’avoir "mis en place des politiques économiques inflationnistes" l’auteur de cet article ne leur reproche-il pas, tout simplement, de dépenser ainsi que les Collectivités territoriales, beaucoup plus d’argent qu’ils n’en percoivent en taxes et en impôts ? de peser lourdement par les charges sur les coûts du travail en France, ou d’avoir installé en France une fiscalité incohérente et "ubuesque" qui pénalise les entrepreneurs, fait fuir les capitaux, démoralise ceux qui travaillent, créent ou produisent, tout en incitant les parasites à proliférer, et même à venir de partout s’installer en France pour en profiter ?

    Je ne sais pas si, comme Bernard TREMEAU semble le penser, Olivier BESANCENOT pense pouvoir profiter de "l’hyper inflation" pour installer en France l’altermondialisme dont il est l’un des tenants. L’inflation, très importante, certes, depuis l’euro, me semble en voie de se tasser. Mais une chose est certaine : on le voit aussi bien Outre-Mer qu’en Métropoloe, il y a une hyper-inflation de "manifs" en tous genres. Des manifestation qui permettent à la lie de la population, des deux côtés de l’Atlantique, d’en profiter pour jeter encore plus de désordre et de violences dans nos quartiers et dans nos cités. Et que le vrai responsable de la situation est le Gouvernement. Un Gouvernement qui, par lâcheté (à moins que ce ne soit pas calcul, ce que je n’ose penser et serait encore plus intolérable) a laissé progressivement le "pouvoir de la rue" s’installer, empêchant les honnêtes citoyens de vaquer à leurs occupations, de travailler, et même leur faire craindre pour leur vie et pour leurs biens. Combien de temps cette situation durera-t-elle ? Faudra-t-il que, lassés de la chienlit, les citoyennes et les citoyens de ce Pays qui entendent vivre et travailler en paix, appellent de leurs voeux un Pouvoir fort qui n’aura certes rien à voir avec le "libéralisme" dont on rêve dans les colonnes des "4-Vérités". A moins que ce ne soit le "gentil facteur de Neully", le gendre idéal présenté à sasiété par les médias qui ont pour lui les yeux de Chimène (à moins que ce ne soit de Rodrigue !) qui ramasse dans la rue, ou dans les urnes, un pouvoir tombé en quenouille malgré les rodomontades sarköziennes. Vous savez celles du genre : "Nous somems dans un Etat de Droit", les "fautifs seronr sanctionnés lourdement", "on ne tire pas impunément sur des policiers", "je veillerai personnellement à ce que…" De quoi faire rigoler aussi bien dans les banlieues quedans certaines officines ! 

                                                  Cordialement, Jean-Claude Thialet

    (1) le malheureux n’avait-il pas joué à l’apprenti-sorcier en se faisant descendre par des "jeunes" qui ont profité des manifestations montées par son syndiocat pour jouer aux révolutionnaires. 

    23 février 2009 à 16 h 12 min
  • SAS Répondre

    a MARC…..

    Petites précision à ton endroit….

    1) ne pas confondre super marchés et hypermarchés….population totale 400 000 habitants, pas de clients….8 c’est dément, il y a souvent entente et lorsque l on est en plus industriel et importateur , c’est débile……toutes les petites boutiques avec 3 à 4 emplois peu qualifié mais déclarés et permanent ont été lessivée en 10 ans….

    2) ce sont donc 8 familles qui commerce a grande echelle avec des emplacement s en or(que tu ne pourra jamais avoir) , qui bénéficient de toutes les autorisations administratives à coup sure(parcour du combatant pour tous les autres), qui rentre des loyers, defiscalisent  et réalises des immeubles et bâtiment colossaux et souvent ONT DES INTERE¨TS DANS LA BANANE SUBVENTIONEE  avec des mélanges fiananciers inquiétants et déloyales que tu ne peux jamais égaler….

    3)La fonction publique ou parapublique c’est 64% de l’économie locale 15 a 20 %gros groupes et industrie(béké mulatres autre) et 10% petite entreprise et artisanat….. mais 100% des subventions et aides en tous genre sont concentrées sur ces 20%.

    Au dela du racisme qui est savament entretenu par une minorité de branleurs(très localisés et souvent fonctionaires) , il convient ici comme en france de payer plus au mérite son employé et de pouvoir gérer sa promotion en fonction du rendement et des possibilité……mais les syndicats de la fonctionpublique ont mis leur nez dans cette affaire et font aligner l immoralité et l’ancieneté de leurs acquits au chantage au privé….il y a donc problème…

    Les chefs d entreprises ne peuvent plus manoeuvrer et manager leur personnel comme il se doit…..même problème entre les parlements nationnaux et le conseil de l europe: les décisions se prennent ailleurs…et par d’autres.

    Le smig a 1500 euros (idée de segolène) rrepris par les greviste de martinique d ou une augmentation salariale de 354 euros précisément……est l assurance de tuer 80% des sté privées , ou d’augmenter les prix d autant ou d’etandre la black et autres combinenet….qie réprimera les autorité selon leur bon vouloir ou leurs objectifs maçoniques ou clanique…..bref c’est l italie

    sas qui te salue et te remercie pour ta remarque interessée.

     

     

    23 février 2009 à 13 h 19 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    L’organisation d’un référendum traitant de l’indépendance totale de tous les DOM-TOM sans exception devrait être organisée sans attendre. La réponse des citoyens de ce pays ne fait pas de doute. Le temps de payer des sommes colossales  pour des confettis éparpillés de par le monde est révolu. Cet argent trouverait meilleur usage dans l’hexagone.
    L’Allemagne qui n’a pas de territoires dans le monde ne s’en porte pas plus mal et les bananes y sont meiileures et moins chères.

    23 février 2009 à 9 h 19 min
  • Marc Répondre

    A  SAS.  8 hypers marchés en Guadeloupe ?  Où est le problème ? Dans ma région, 5 communes: 3 intermarchés,1 Leclerc,et 3 petites surfaces! Population,environ 100 000 habitants ! La Guadeloupe, c’est 450 000 habitants ! Non,le vrai problème de la Guadeloupe,c’est son état d’esprit ! 40% de ses habitants,sont fonctionnaires ! C’est comme si une entreprise privée de 100 salariés,avait 40 secrétaires !!! Comment attendre de ces gens qu’il veuillent travailler ? Il est plus facile de réclamer à la Métropole,(c’est à dire les contribuables continenrtaux)cette vache à lait,de payer toujours plus ! Traitant les Métropolitains de racistes et de colons ! Moi pour ma part,je dis à tous ces gens,il en est de même pour la Corse,et la Martinique et autres,si vous n’ètes pas contents de la France,et bien prenez votre Indépendance,mais sans un centime de sa part ! Regardez Haïti,voila ce qui vous attend !!! 

    22 février 2009 à 19 h 48 min
  • siniq Répondre

    Ne préparez pas la vôtre, il me semble que vous appréciez beaucoup le saint facteur mais si l’ envie vous prenez de partir aprés quelques années de communisme libéral à la besancenot; prévoyez quelques liasses de billet verts pour acheter votre voyage mais c’est une habitude chez les rouges de préparer leurs fuites.

    22 février 2009 à 13 h 37 min
  • Florin Répondre

    @Hans : la valise plutôt que la réforme ??? au moins, ça a le mérite d’être clair …

    21 février 2009 à 13 h 08 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Besancenot, voilà un individu qui en temps normal et dans un pays normal passerait pour un débile mental profond. Mais nous sommes en France, devant une crise sans pareille et les faux-prophètes promettant le paradis sur terre sont en train de sortir par tous les trous de souris.
    Un prophète sans adeptes est inoffensif, malheureusement pour la démocratie, le facteur si sympathique et si photogénique est entouré de sbires qui veulent en découdre avec le système actuel et tous les moyens leur seront bons pour arriver au but. Sans législation qui les encadre, je crains bien qu’ils atteigneront leur objectif.
    Il vaut mieux déjà aller reconnaitre le trajet de l’issue de secours, dans l’éventualité de leur prise de pouvoir.

     

    20 février 2009 à 21 h 54 min
  • Florin Répondre

    à l’ab… pardon, qui oublie de signer : je ne suis pas socialiste, et pas "divers gauche" non plus.

    Mais cela ne m’empêche pas de reconnaître un escroc, quand j’en croise un … et il y a foule ces derniers temps …

    prenez le temps de réfléchir à une solution au problème, plutôt que d’attaquer ceux qui osent en parler.
    surtout, n’attaquez pas les mains vides, ça peut faire mal !

    20 février 2009 à 0 h 08 min
  • Magny Répondre

    La différence entre l’Italie et la France ? L’une a une mafia privée , l’autre publique , l’une plus visible et violente que l’autre , mais l’autre plus perverse , et conçue pour durer .

    Sinon la pullulation des nouveaux partis à la gauche de la gauche n’est guère étonnant vu que le marché est porteur … car il se casse la figure . Il est temps de hurler plus fort que le voisin maintenant que le gouvernement a vraiment la pétoche et est prêt à lâcher du lest pour éviter le déclenchement d’une émeute .

    Bien sûr qu’il faut des coopératives , et depuis longtemps il faudrait ouvrir continuellement les marchés du dimanche gratuitement aux petits producteurs pour calmer les prix des poids lourds de la distribution . Et toutes ces subventions qui aterrissent rarement là où le faut … et ces allocations familiales données pour avoir baissé sa braguette … et toutes ces ponctions fiscales confisquées par solidarité , à vous dégoûter d’être authentiquement solidaire … oui tout le monde sait , mais comme le dit la blague : à côté de chaque niche fiscale il y a un chien qui grogne , prêt à mordre …    

    19 février 2009 à 19 h 25 min
  • Anonyme Répondre

    "La solution, ce n’est PAS le contrôle des prix, mais la création de nouvelles structures économiques, des coopératives ouvrières, par exemple, qui soient autorisées à procéder à l’importation des biens de première nécéssité, en court-circuitant les grandes surfaces locales."

    Un socialiste faisant l’élode des marchés libres et de la libre-coopération, on aura tout vu :)

    "D’ailleurs, je ne vois pas pourquoi importer de France, alors que l’on pourrait parfaitement importer de Floride, le dollar étant bien bas dernièrement."

    Socialiste qui récidive même en faisant l’apologie du libre-échange. Impressionnant

    19 février 2009 à 13 h 52 min
  • sas Répondre

    A florin…..

    les maffias locales ne peuvent exister que par la complicité objectives des fonctionnaires surpayés, glandeurs et stériles envoyés a très grands frais sur place……

    …..mais n oublie jamais qu’ils reviennent toujours après s’etre enrichie sans cause et sans travaille en metropole…..avec leurs putains de mauvaises habitudes devenues chroniques ….nottament la magistrature….

     

    sas

    nb: quels sont les con et bas du bonnet qui ont permis l installationde 8 hypers sur un departement bgros comme un confeti ??????

    19 février 2009 à 12 h 17 min
  • Florin Répondre

    Donc, faut laisser faire les maffias ??? Ceux qui vous font payer 4 euros le kilo de pâtes dans les DOM, ou 1,83 euros le kilo de bananes, bien plus cher qu’en métropole, alors que la banane n’a pas voyagé plus de 5 km ???

    M. Trémeau, si vous êtes prêt à laisser s’installer la guerre civile pour protéger quelques mafieux, libre à vous.  Gageons qu’à 4 euros le kilo de pâtes, la métropole va exploser à son tour, et encore plus vite que les DOM.

    Quand on produit un litre d’essence, le transport du pétrole brut et ensuite du produit raffiné ne compte que pour quelques centimes dans le prix à la pompe. Comment se fait-il alors que le transport d’un kilo de pâtes en sens inverse puisse coûter 2 euros ??? on se moque de qui, là ??? Parce que, soyons clairs : les impôts sur les sociétés sont moindres qu’en métropole ; la TVA, moindre ; la TP, moindre; les charges sociales, moindres. Alors, ce fameux surcoût, viendrait-il du transport ? Certes – mais cela n’explique pas les écarts gigantesques des prix.

    Le problème, ce sont les maffias et leur monopole sur la distribution.

    La solution, ce n’est PAS le contrôle des prix, mais la création de nouvelles structures économiques, des coopératives ouvrières, par exemple, qui soient autorisées à procéder à l’importation des biens de première nécéssité, en court-circuitant les grandes surfaces locales. D’ailleurs, je ne vois pas pourquoi importer de France, alors que l’on pourrait parfaitement importer de Floride, le dollar étant bien bas dernièrement. 

    18 février 2009 à 18 h 41 min

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